Transfert de dernière minute à l’OM : Il annonce un énorme coup !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Au terme d’une dernière journée de mercato très animée, l’OM a notamment obtenu le prêt avec option d’achat de Benjamin Pavard en provenance de l’Inter Milan. Un très gros coup pour le club phocéen à en croire l’ancien coach du LOSC René Girard qui avait lancé l’international français en professionnel.

Prêté avec option d'achat à l'OM, Benjamin Pavard a débarqué à Marseille dans les dernières heures du mercato. Une signature globalement saluée, notamment par René Girard qui avait lancé en professionnel le défenseur au LOSC.

Pavard, le gros coup de l'OM

« Passer par le Bayern et l’Inter l’a bonifié. Benjamin est une bonne recrue pour l’OM. Je l’avais trouvé très bon, pour ne pas dire excellent, se souvient encore l’ancien entraîneur (71 ans), retiré dans son Gard natal. J’étais en manque de défenseurs. Benjamin pouvait évoluer dans l’axe ou sur un côté. C’était un défenseur moderne, même aujourd’hui, il peut jouer piston ; un garçon agile techniquement, physiquement solide, qui aimait prendre le couloir. Il avait le talent pour nous apporter un plus. Il dégageait un talent certain, ne se posait pas de questions, entreprenait beaucoup, n’était pas fainéant », se remémore l’ancien entraîneur du LOSC avant d’en rajouter un couche.

«Je ne me fais pas trop de souci, il sera présent au rendez-vous»

« Il a assez de potentiel pour réussir, est insouciant. Très généreux, il ne reculait devant rien, était capable de prendre le couloir, de déborder et de centrer. Il ne faut pas que ça ait l’effet inverse, surtout dans un club comme l’OM où l’enthousiasme prend souvent le pas sur le reste. Je ne me fais pas trop de souci, il sera présent au rendez-vous. Il a emmagasiné beaucoup de maturité. Les responsabilités ne lui font pas peur, il a beaucoup de personnalité. À ses débuts, il entreprenait facilement les tâches qu’on lui confiait. Il est allé chercher le Graal par lui-même », ajoute René Girard.

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