Son transfert à l'ASSE l'a fait halluciner, il déballe tout
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Recruté cet été par l'ASSE, Ben Old est devenu le premier néo-zélandais, depuis Bill Tuiloma, à fouler les pelouses de Ligue 1. Evidemment, ce transfert a fait énormément parler au pays des All-Blacks. Alors qu'il vient d'achever son adaptation dans le Forez, l'ailier gauche est revenu sur son arrivée en France.

L’ASSE a élargi son champ de vision cet été. Le club stéphanois a dépassé les frontières européennes pour recruter Ben Old. Formé à Wellington, ce jeune ailier gauche de 22 ans s’est engagé pour quatre saisons avec les Verts, sans que personne ne soit en mesure de s’exprimer sur son véritable niveau. Ses premières apparitions en Ligue 1 ont donné un aperçu de son potentiel, même s’il est difficile de les juger au regard du début de saison catastrophique réalisé par l’ASSE.

« J’avoue avoir été surpris »

Quoi qu’il en soit, Ben Old est honoré de faire partie de cette équipe. « Lorsque les contacts ont été établis avec mon agent, j’avoue avoir été surpris. Mais il n’y a évidemment eu aucune hésitation au moment d’accepter l’offre. J’ai terminé mon passage à Wellington avec une petite blessure à la cheville. J’avais évidemment envie de participer aux JO, mais avec l’ASSE, on s’est dit qu’il était préférable de ne pas aggraver la blessure et de se focaliser sur une vraie prépa » a confié le joueur à So Foot.

L'opération a fait les gros titres

Un joueur de rugby qui se rend en France pour poursuivre sa carrière, c’est une normalité. Dans le football, c’est plus rare. Autant dire que le transfert de Ben Old a fait parler au pays des All-Blacks. « C’est très honorant pour nous, de voir des journalistes français s’intéresser à un joueur du pays Pour les Européens, la Nouvelle-Zélande est loin dans tous les sens du terme, donc voir un gamin de 22 ans faire son trou dans l’un des meilleurs championnats du continent, ça fait quelque chose » a déclaré Michael Burgess, journaliste au New Zealand Herald.

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