OM : Le transfert rarissime avec Adrien Rabiot !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Suite à la bagarre avec Jonathan Rowe, l’OM a décidé de se séparer d’Adrien Rabiot. C’est ainsi que l’international français a été transféré au Milan AC. Alors que l’opération a été annoncée aux alentours de 10M€, le club phocéen n’aurait pas encaissé la totalité de la somme puisqu’une partie serait revenue dans les poches du clan Rabiot. Un cas très rare sur le marché.

Un an et puis s’en va ! Adrien Rabiot a donc quitté l’OM lors du dernier mercato estival. L’ancien de la Juventus a ainsi fait son retour en Italie, étant transféré au Milan AC. Une sanction du club phocéen à la suite de la bagarre avec Jonathan Rowe. Rabiot s’est donc envolé de l’autre côté des Alpes, récupérant au passage une jolie somme, lui qui disposait d’un intéressement sur son transfert.

« Les joueurs ne touchent rien sauf les rares joueurs intéressés sur leur transfert »

Agent, Badara Wagué a souligné à quel point l’exemple d’Adrien Rabiot était rare dans le monde des transferts. Dans des propos accordés à So Foot Club, il a ainsi fait savoir : « A qui va l’argent des transferts ? Un transfert ce sont les clubs qui se paient entre eux. Les joueurs ne touchent rien sauf les rares joueurs intéressés sur leur transfert. On en a parlé un petit peu par rapport à Rabiot, venu libre à Marseille ».

« C’est vraiment très rare »

« Il a été transféré et on dit que sa mère, son agent, a eu une part de son transfert. C’est vraiment très rare que les agents soient commissionnés sur les transferts. Dans 90 à 95% des cas, ils sont payés au pourcentage par rapport au contrat de travail du joueur. Pas plus de 10% en France », a-t-il ajouté sur le cas Rabiot.

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