Mercato : Zidane va encore se faire doubler !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Désireux de prendre la tête de l’équipe de France, Zinedine Zidane a dû revoir ses plans après la prolongation de Didier Deschamps. Depuis, l’ancien meneur de jeu n’a pas retrouvé de banc de touche, et alors que le poste du Bayern Munich sera bientôt libre, une arrivée en Allemagne ne semble pas envisagée pour lui.

Parti du Real Madrid en mai 2021, Zinedine Zidane s’imaginait reprendre du service en 2023 après une année et demie sabbatique, mais la décision de Didier Deschamps de prolonger à la tête de l’équipe de France a obligé son ancien coéquipier de l’épopée 1998 à revoir ses plans. Annoncé aux quatre coins du monde, Zidane n’a pas retrouvé de banc et prend son mal en patience en attendant la bonne opportunité. Cité parmi les pistes du Bayern Munich pour remplacer Thomas Tuchel, Zinedine Zidane semble très loin de la Bavière.

Xabi Alonso est la priorité

Pour l’heure, c’est en effet Xabi Alonso qui apparaît comme la priorité du Bayern Munich pour prendre la succession de Thomas Tuchel. L’Espagnol impressionne cette saison avec le Bayer Leverkusen, invaincu en Bundesliga et leader avec dix points d’avance sur le mastodonte bavarois. Une réussite qui attise les convoitises, Liverpool s’intéressant également à Xabi Alonso pour oublier Jürgen Klopp. Si le Bayern Munich ne parvenait pas à ses fins avec son ancien joueur, une autre piste serait à l’étude, et il ne s’agit toujours pas de Zinedine Zidane.

Roberto De Zerbi a la cote au Bayern

D’après Sky Deutschland, la cote de Roberto De Zerbi est forte au sein du Bayern Munich, le nouveau directeur sportif Max Eberl étant fan de son style à Brighton et de sa capacité à faire progresser ses joueurs. Zidane est donc à la traîne, et Eberl ne s’en cachait pas récemment, évoquant notamment la barrière de la langue. « Bien sûr, il (le nouvel entraîneur, Ndlr) doit parler une langue que nous parlons tous - donc ce doit être l'allemand ou l'anglais. Le français est un peu plus "léger" pour moi. C'est aussi un critère, mais pas un critère d'exclusion », reconnaissait-il.

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