Mercato - PSG : Leonardo, Ancelotti… Les révélations de Kombouaré sur son départ fracassant !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Leader de Ligue 1 avec le PSG en décembre 2011, Antoine Kombouaré avait pourtant été démis de ses fonctions d’entraîneur par Leonardo pour laisser place à Carlo Ancelotti. Un départ sur lequel est revenu l’actuel coach de Nantes.

Dès son arrivée au PSG, QSI a procédé à d’importants changements au sein du club de la capitale. Après avoir démarré la saison 2011-12 sur le banc, AntoineKombouaré avait été démis de ses fonctions par Leonardo, qui souhaitait nommer à sa place CarloAncelotti. Un choix qui n’a pas eu l’effet escompté puisque le PSG n’avait finalement pas réussi à décrocher le titre en Ligue 1 malgré sa première place au moment du départ de Kombouaré. Ce dimanche, le Kanak retrouvera le PSG à l’occasion du match opposant l’équipe de MauricioPochettino au FCNantes, l’occasion pour lui de revenir sur ce départ houleux.

« Avec Leonardo, on a tout réglé en deux heures »

« Si je pense encore à la manière dont je suis parti ? Honnêtement, plus jamais. Toute ma vie, je serai reconnaissant envers Paris. J'y ai joué cinq ans et ensuite, j'ai pu apprendre mon métier en dirigeant quatre ans la réserve avant de revenir entraîner l'équipe. Trois fois, ce club m'a fait confiance ! Et je connais les codes de ce métier : on n'est que de passage et le poste ne vous appartient pas. Dès le début, je savais qu'il y aurait une fin. Après, j'avoue un petit chagrin : je pensais, en étant premier, aller jusqu'à la fin du championnat… Aucune rancune ? Non. Une fois que c'est acté, il ne faut plus chercher à se battre. Avec Leonardo, une fois qu'il m'a annoncé que c'était fini, on a tout réglé en deux heures. Et puis à cet instant, avec tout ce qu'on répétait autour, comme quoi j'étais menacé, qu' Ancelotti allait venir etc., j'étais content que ça s'arrête. Là, il fallait aller vite », confie Kombouaré dans un entretien accordé au Parisien.

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