En 1998, tout juste sacré champion du monde avec l’équipe de France, Robert Pirès quitte le FC Metz pour s’engageait avec l’OM. D’autres choix s’offraient pourtant au milieu offensif, lui qui était alors également courtisé par le PSG et Monaco. Pirès a toutefois choisi Marseille et un élément a semble-t-il fait la différence.

Avant de se faire un nom à l’étranger et surtout en Angleterre, Robert Pirès a évolué dans le championnat de France avec le FC Metz puis l’OM. C’est en 1998 que celui qui était à peine champion du monde avec la France s’engageait avec le club phocéen. Un transfert à propos duquel Pirès avait déjà expliqué : « En 1998, j’ai le choix entre Monaco, le PSG et l’OM. Monaco, Arsène Wenger me voulait ».
« L’OM ? Je me suis régalé »
Roberto Pirès aurait ainsi pu signer au PSG ou bien à l’AS Monaco au sortir de sa Coupe du monde et de son sacre avec l'équipe de France, mais c’est à l’OM qu’en 1998 il a décidé de poursuivre sa carrière. Et pour Kampo, le champion du monde a révélé ce qui a fait pencher la balance en faveur de Marseille : « L’OM ? Je me suis régalé. Au Vélodrome, je me suis régalé. Ambiance vraiment de fou. C’est pour ça que je ne vais pas à Monaco, avec Arsène Wenger ».
« Tu joues au foot pour l’ambiance »
« Wenger me regardait, m’observait et voulait vraiment que je joue avec lui. Sauf qu’à Marseille, je sais un peu où je mets les pieds. Je voulais jouer à l’OM. Personnellement, ça s’est plutôt bien passé. Ça a été difficile ? Non, je savais où je mettais les pieds. Après, c’était excitant. Tu joues au foot pour l’ambiance. J’ai aimé jouer au Vélodrome », a ensuite ajouté Robert Pirès, convaincu par la ferveur à l’OM.