Mercato - OM : Villas-Boas, débordements… Milik revient sur son arrivée mouvementée !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Désormais à l’OM, Arkadiusz Milik n’a pas connu des premiers pas faciles sur la Canebière. Une arrivée mouvementée évoquée par le Polonais. 

Mis de côté par Gennaro Gattuso à Naples, Arkadiusz Milik est donc venu se relancer à l’OM. En janvier dernier, le Polonais a été prêté mais ses premiers pas sur la Canebière n’ont pas été habituels. Tout d’abord, Milik a dû faire avec le départ d’André Villas-Boas, avec qui il avait pourtant discuté avant de signer. A peine arrivé à l’OM, le buteur de 26 ans a vu l’entraîneur portugais faire ses valises et il a également pu assister de très près au climat tendu tendu dans la cité phocéenne. En effet, le 30 janvier dernier, lors des débordements à La Commanderie par les supporters, Arkadiusz Milik était aux premières loges. 

« C'était un peu fou comme situation »

Pour Arkadiusz Milik, l’arrivée à l’OM n’a donc pas été comme les autres avec ces nombreux rebondissements. Et à l’occasion d’un entretien accordé à L’Equipe, le Polonais est revenu sur ces événements : « C'était un peu fou comme situation. Mais j'étais tellement concentré sur le foot, j'avais une telle obsession de retrouver le jeu, de retrouver le terrain, que rien ne pouvait me faire dévier de mon objectif. Même quand les supporters sont entrés ici, cela n'a pas altéré ma concentration. Ce que j’ai ressenti ce jour-là ? Je viens de Pologne et, dans les années 1990-2000, il y a eu tellement d'histoires avec les fans que nous avons l'habitude. Après, ce jour-là, c'est allé trop loin : entrer dans le centre d'entraînement, jeter des projectiles sur les vitres, c'est trop. Mais je comprends aussi leur frustration. Parfois, les gens aiment tellement le club qu'ils réagissent de cette façon ». 

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