Alors que Jacques-Henri Eyraud a été écarté de la présidence de l'OM par Frank McCourt, Pierre Ménès juge ce choix justifié.
Par le biais d'un communiqué publié vendredi soir, Frank McCourt a lancé une véritable révolution en opérant plusieurs changements de taille, à commencer par l'intronisation de Pablo Longoria à la présidence de l'Olympique de Marseille, en lieu et place de Jacques-Henri Eyraud. Des plus contestés, le désormais ancien président de l'OM ne quitte pour autant pas le club puisqu'il a rejoint le conseil de surveillance de l'OM. Malgré cela, ce changement devrait soulager quelque peu les tensions qui frappaient de pleins fouets le club phocéen depuis le début de l'année 2021. De quoi faire l'unanimité et pour cause, Jacques-Henri Eyraud a enchaîné les sorties contestées avant son éviction, comme l'a rappelé Pierre Ménès.
« Quand tu accumules les âneries, tu ne peux plus avancer »
« Quand tu accumules les âneries, les fautes de comm', son idée sortie du démon d’OM Agora, qui était une déclaration de guerre sans précédent aux groupes de supporters. Je ne dis pas qu’ils sont des saints et qu’ils font tout bien, mais quand t’es dans ce club là, il faut comprendre, faire avec, et discuter. C’est mieux de les avoir de ton côté que contre. Quand tu les as contre, tu ne peux plus avancer », a déclaré Pierre Ménès au Canal Football Club.