Depuis plusieurs mois, la vente de l'Olympique de Marseille ne cesse de faire parler. Mais cette fois-ci, Frank McCourt aurait reçu une énorme offre qu'il ne pourrait pas se permettre de refuser.
Voilà plusieurs mois désormais que les supporters de l'OM rêvent que Frank McCourt finisse par accepter de vendre le club phocéen. Il faut dire qu'au printemps, plusieurs rumeurs ont alimenté ce dossier. Il y a d'abord eu l'intérêt supposé du milliardaire saoudien Al-Walid Bin Talal et son projet pharamineux, et surtout le duo Mourad Boudjellal-Mohamed Ayachi Ajroudi. L'ancien président du RCT et l'homme d'affaires franco-tunisien étaient visiblement à la tête d'un grand projet pour racheter l'OM et n'ont pas manqué d'en vanter les mérites en occupant l'espace médiatique de façon parfois excessive au point de pousser le club phocéen à lancer des poursuites judiciaires. Mais Frank McCourt aurait cette fois-ci reçu une offre bien plus sérieuse qu'il aura beaucoup de mal à refuser.
«McCourt a reçu une offre qu'il ne peut pas refuser»
En effet, sur sa chaîne YouTube, Thibaut Vézirian, journaliste indépendant très actif sur le sujet de la vente de l'OM, révèle que le propriétaire américain du club phocéen a eu d'importantes réunions et a reçu une très belle offre pour vendre. « Frank McCourt a eu des gros rendez-vous au sujet de la vente de l'OM avec une offre puissante qu'on ne peut pas refuser. Il a participé à des réunions avec son état-major dont Jeff Ingram qui le pousse à vendre, avec deux directeurs de l'OM et ses avocats. Du 24 au 28 décembre, Frank McCourt a participé à des réunions longues sur la vente OM. Le club a reçu une offre de plusieurs centaines de millions d'euros. Les deux parties sont entrés dans des rendez-vous sérieux donc je n’en dirais pas plus. C’est une offre sérieuse qui concerne également le stade Vélodrome et se lancer dans un projet ambitieux sportivement parlant. Les acheteurs souhaitent acheter le club, le stade et se lancer dans une politique sportive très sérieuse et avec ambition », explique le journaliste sans toutefois préciser le nom de l'éventuel acquéreur afin de ne pas troubler les négociations.