Mercato : Il quitte l'OM et fait d'énormes révélations sur les méthodes de Longoria
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Quelques semaines après son départ de l'OM, Cédric Bakambu a décidé de lâcher ses vérités au sujet de Pablo Longoria. L'attaquant congolais se lâche sur les méthodes du président marseillais que ce soit au sujet de son cas personnel ou concernant la gestion du cas Bamba Dieng.

«Pour moi c’était légitime que je sois dans le projet»

« Ils voulaient de l’argent. Sauf que moi, quand Pablo (Longoria) est venu me chercher, il me parle de deux ans et demi, ce n’est pas pour que je reparte au bout de six mois. Donc je dis : "non, je n’ai pas trop envie de partir, je reste." En plus, il y a le projet Ligue des Champions. J’ai mis des buts importants la saison passée. Pour moi c’était légitime que je sois dans le projet, dans la continuité. J’ai juste dit que je voulais être dans le projet, laisse-moi faire mon trou, ça va bien se passer pour moi », lance l'international congolais avant de poursuivre.

«A l’entraînement, je jouais arrière gauche, arrière droit»

« Sauf qu’il ne l’entendait pas de la sorte. Et comme les offres sont tombées… Ça parlait de 6-7M€. Lui, il s’est dit : "il ne veut pas partir, on va lui lettre la pression." Donc ils ne me faisaient plus jouer, ils me mettaient à gauche. Pour te dire la vérité, à l’entraînement, je jouais arrière gauche, arrière droit, alors que je suis attaquant ! », ajoute Cédric Bakambu.

«Ce qu’il subissait c’était un truc de fou»

L'attaquant de l'Olympiakos, qui ne sera donc resté que 6 mois à l'OM, est également revenu sur le traitement subi par Bamba Dieng, mis à l'écart une bonne partie de la saison, pour le pousser à partir. Une gestion sur laquelle s'est prononcé Cédric Bakambu : « Ce qu’il subissait c’était un truc de fou. Voir comment il a été traité, ça m’a fait mal. » Les méthodes de Pablo Longoria ne font donc pas l'unanimité.

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