Mercato - FC Nantes : Les confidences de Kombouaré sur la succession de Domenech !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Pour remplacer Raymond Domenech, le FC Nantes a donc fait confiance à Antoine Kombouaré. Ce mardi, l’entraîneur nantais s’est confié sur son choix d’accepter ce défi. 

Les entraîneurs se succèdent depuis le début de la saison au FC Nantes. Actuellement, Antoine Kombouaré est la 4ème technicien à s’asseoir sur le banc des Canaris lors de cet exercice. Il y a quelques jours, il remplaçait ainsi Raymond Domenech, qui ne sera resté qu’un mois et demi à la tête du FC Nantes, payant son manque de résultat sur les bords de la Loire. Désormais, c’est donc Kombouaré qui est aux commandes chez les Canaris, lui l’ancien joueur nantais. 

« Ça s’est fait en 24 heures »

D’ailleurs, ce mardi, dans un entretien accordé à Ouest France, Antoine Kombouaré est revenu sur les dessous de son arrivée au FC Nantes et son choix de succéder à Raymond Domenech. L’entraîneur de 57 ans a alors confié : « Ça s’est fait en 24 heures. Les deux premières fois, ça ne s’est pas fait pour des raisons… peu importe. J’ai eu envie d’aider ce club qui a fait de moi ce que je suis. Je me suis dit de tenter le coup, pour ne pas avoir de regrets. J’ai le sentiment qu’il est en grande difficulté, qu’il peut descendre en Ligue 2. Je ne dis pas que je vais réussir à le maintenir, mais je vais tout faire pour (…) Je suis en opération maintien, pas en opération commando. Dans ma tête, je m’étais préparé à repartir au mois de juin sur un nouveau projet puisque j’avais deux propositions en France et une à l’étranger. J’avais même à dit à certains que j’étais partant. Je ne me voyais pas sur une mission comme celle-ci. Et puis, il y a cet appel de Nantes… Je n’ai pas dormi dans la nuit de mardi et, le matin, j’avais décidé d’y aller ». 

Articles liés