Choix tonitruant de l’OM sur le mercato, le patron jubile
Jules Kutos-Bertin -
Journaliste
Tout petit, je m’étais promis d’avoir un métier en accord avec le football. Très vite, j’ai pris conscience que mes pieds ne suffiraient pas pour m’emmener là où je le voulais alors le journalisme est devenu une évidence.

Après le départ imprévu de Jorge Sampaoli l’été dernier, l’OM a décidé de faire confiance à Igor Tudor. Méconnu en France, le technicien croate a vécu des débuts compliqués sur le banc marseillais avant d’inverser totalement la tendance. Finalement, la situation s’est améliorée, Pablo Longoria en est même bluffé.

L’été dernier, l’OM a encore changé beaucoup de choses. Un an et demi après son arrivée, Jorge Sampaoli, mécontent du début de mercato réalisé par Pablo Longoria, a pris la décision de quitter son poste. L’OM a décidé de faire confiance à Igor Tudor pour prendre sa succession, un choix étonnant puisque le technicien croate était inconnu en France. Et ses débuts n’ont pas été faciles du tout…

La saison mouvementée d’Igor Tudor

Au terme d’une préparation estivale très compliquée au niveau des résultats, Igor Tudor s’est fait siffler par le Stade Vélodrome alors même qu’il n’avait pas dirigé le moindre match officiel. Pas simple à gérer pour le coach de l’OM qui a tout de même su inverser la tendance. Marseille a réalisé le meilleur début de saison de son histoire et à l’heure actuelle, Tudor peut encore espérer accrocher un titre puisqu’il n’a que six points de retard sur le PSG. Pablo Longoria, forcément satisfait de son choix, est conquis par Igor Tudor

Longoria est bluffé

Le président de l’OM est même impressionné. « Par sa rigueur, son professionnalisme, la conviction qu'il a pour transmettre son idée du jeu, qui ressemble à ses idées dans la vie. Il a des relations très directes, transparentes, honnêtes et humaines. La Juventus a marqué notre vision du football à nous trois (Tudor y a joué, Longoria et Ribalta, directeur du football du club, y ont travaillé). Avec de l'exigence, mais surtout le respect des positions de chacun et des autres », admet Pablo Longoria dans un entretien accordé au journal Le Figaro.

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