Cet hiver, le PSG a réalisé l’un des gros coups du mercato en bouclant le transfert de Khvicha Kvaratskhelia pour environ 70M€. Un transfert faciliter notamment par le joueur lui-même qui aurait forcé son départ. Selon le journaliste italien Antonio Corbo, la situation frisait même le chantage envers le Napoli.
Un an après avoir de tenter de le recruter, le PSG a finalement réussi à attirer Khvicha Kvaratskhelia cet hiver. L'international géorgien a débarqué pour environ 70M€. Une transfert que Naples n'avait pas prévu, mais comme le journaliste de La Repubblica Antonio Corbo le révèle, le nouvel ailier parisien n'a pas vraiment laissé le choix aux Italiens. Une situation qui s'apparente à du chantage.
Le transfert de Kvaratskhelia bouclé grâce à un chantage
« Le terme suggestif de chantage permet d'expliquer la vente de Kvaratskhelia. Au lieu d'être soumis à un chantage, Naples a été contraint de vendre le joueur le plus technique et le moins bien payé », écrit le journaliste italien dans sa chronique pour La Repubblica avant d’en rajouter une couche en détaillant plus précisément les coulisses du transfert de Khvicha Kvaratskhelia au PSG.
«Le terme suggestif de chantage permet d'expliquer la vente de Kvaratskhelia»
« Il l'a seulement empêché d'exercer son droit d'être lié par une règle de l’UEFA avec un taux favorable. Il en est résulté un montant basé sur le salaire du joueur. Modeste malheureusement. Manna a également déclaré que le président était prêt à débourser des dizaines de millions pour Garnacho. Ce n'était pas du bluff, jure le manager. Qu'il veuille aider De Laurentiis à grandir est une promesse bienvenue pour le président qui, seul en vingt ans, est désormais proche du quatrième Scudetto avec des comptes en ordre. Avec les 150 millions qui arrivent (Kvara et Osimhen), Naples a au moins la moitié d'une « position financière nette positive » pour investir en juillet, mais sans folie », ajoute Antonio Corbo.