Après son transfert, Lucas Chevalier est menacé dans le vestiaire du PSG !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Arrivé cet été en provenance du LOSC pour 55M€, bonus compris, Lucas Chevalier sera le titulaire dans les buts du PSG cette saison pour remplacer Gianluigi Donnarumma. Matvey Safonov reste donc la doublure dans la hiérarchie des gardiens parisiens. Mais le Russe compte bien tout faire pour inverser la tendance. Chevalier est prévenu.

Cet été, à la surprise générale, Luis Enrique a décidé de mener une révolution dans les buts du PSG, se séparant notamment de Gianluigi Donnarumma pourtant très impressionnant en Ligue des champions. Pour le remplacer, le club parisien a décidé de recruter Lucas Chevalier qui débarque du LOSC pour 55M€, bonus compris. Par conséquent, Matvey Safonov reste la doublure dans les buts du PSG. Mais il compte bien inverser la tendance très rapidement.

Safonov prévient Chevalier

« J’ai toujours misé sur la compétition. Mon objectif est de prouver à chaque match et à chaque entraînement que je suis digne de jouer. Si j’en ai l’occasion, j’essaierai de faire mes preuves (…) Ça ne fait aucune différence, c’est une compétition de toute façon. Quelqu’un sera gagnant, quelqu’un perdra. Tout recommence, à zéro (…) Nous avions trois gardiens et je suis resté », lance-t-il dans une interview accordée à Sport-Express en Russie avant de poursuivre.

«Mon objectif est de prouver à chaque match»

« Je ne me fixe pas de but. Mon objectif est de jouer le prochain match. C’est la seule façon de penser. Pas besoin de faire des plans. Jouer 15 matches, 20… ça ne sert à rien. Je veux que les gens comptent sur moi, mais je dois le prouver par mon jeu (…) Pour convaincre l’entraîneur de me faire jouer plus souvent ? Ce n’est pas à moi de le faire. Je ne peux le prouver qu’à l’entraînement (…) Ils ne parlent à personne (sur comment le staff décide qui joue, ndlr). Ils nomment la composition, et c’est tout », ajoute Matvey Safonov.

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