Annoncé sur la sellette, Habib Beye a finalement sauvé sa place sur le banc du Stade Rennais après le large succès de son équipe dimanche en championnat contre le RC Strasbourg. Mais Daniel Riolo est allé un peu plus loin dans l'analyse, et l'éditorialiste de RMC Sport se montre persuadé que les révélations faites sur le cas Beye dans l'After Foot ont joué un rôle dans son maintien en poste.
Et si Daniel Riolo et ses récentes révélations sur les coulisses du feuilleton Habib Beye au Stade Rennais avaient sauvé la tête du breton ? Dimanche soir, en direct à l'antenne après le succès des Rouge et Noir face au RC Strasbourg (4-1) qui a donc permis à Beye de sauver sa tête à Rennes, Riolo s'est lâché à ce sujet avec une drôle de théorie.
« L'After a sauvé Rennes, je l'affirme »
« Il ne faut pas être faux modestes. On a sauvé Rennes. L'After a sauvé Rennes, je l'affirme. Toutes nos révélations ont sauvé Rennes et je pense même qu'à Rennes ils le savent. (...) Les révélations sur tout ce qui s'est passé a forcé tout le monde à se regarder dans un miroir et à faire le bilan et son autocritique. Ca a mis un gros coup de projecteurs sur le club. Je pense que le proprétaire en a eu marre, a d'abord voulu virer tout le monde, dans un premier temps le coach puisque c'est la solution de facilité, puis le reste. Puis il a dit : vous allez vous démerder pour vous entendre et continuer ensemble », lâche Daniel Riolo.
« Nos révélations ont fait beaucoup de bien à Rennes »
« Pouille n'avait jamais parlé pour soutenir son coach. Il a été obligé de le faire. Les joueurs ont été mis face à leurs responsabilités. Je pense que certains n'ont pas du tout aimé nos révélations et se sont dits que ce n'est pas propre de balancer sur un coach et de ne pas faire son taff comme il faut, on est quand même des professionnels avec de gros salaires. De toute façon, je pense que si Beye avait sauté, ça leur mettait une énorme pression vis-à-vis des supporters. Je pense sincèrement que nos révélations ont fait beaucoup de bien à Rennes », poursuit Riolo.