Mercredi dernier, le PSG s'est incliné face au FC Barcelone, en quart de finale aller de Ligue des champions (défaite 2-3). Une rencontre durant laquelle Gianluigi Donnarumma n'a pas brillé, étant impliqué directement ou indirectement sur tous les buts barcelonais. L'ancien gardien parisien, Jérôme Alonzo, n'a pas reconnu le portier italien, le qualifiant de fébrile.
Le PSG est au pied du mur. Mardi soir, s'il ne sort pas une très belle performance, le club de la capitale sera éliminé de la Ligue des champions, au stade des quarts de finale. Les Parisiens se sont inclinés d'un but face au FC Barcelone au match aller (2-3), et ils doivent donc s'imposer, si possible par deux buts de plus, pour rejoindre le dernier carré de la compétition. Il faudra donc que les cadres de Luis Enrique répondent présents, à commencer par Gianluigi Donnarumma.
Donnarumma est impliqué sur tous les buts du Barça
Alors qu'il évoluait à un haut niveau depuis le début de la saison, Gianluigi Donnarumma a déçu face au FC Barcelone. Le portier du PSG est impliqué directement ou indirectement sur les trois buts du Barça. Pour l'ouverture du score de Raphinha, c'est lui qui dégage involontairement la balle dans les pieds du Brésilien. Quelques secondes avant le deuxième but de l'ancien Rennais, il est coupable d'une mauvaise relance au pied, en rendant directement le ballon aux Barcelonais. Enfin pour le troisième but du club espagnol, sur corner, il ne sort pas de sa ligne, et se fait fusiller à bout portant par la tête d'Andreas Christensen.
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— le10sport (@le10sport) April 14, 2024
«Le match de mercredi m’a étonné»
Ancien gardien du PSG, Jérôme Alonzo a donné son avis sur la prestation de Gianluigi Donnarumma pour L'Équipe. L'ancien portier parisien n'a pas reconnu l'Italien face à Barcelone, le qualifiant même de mec fébrile. « Le match de mercredi m’a étonné. Je le voyais tellement fort depuis quatre mois, surtout mentalement. Je me souviens du match contre Monaco (5-2, le 24 novembre) au Parc des Princes. Il fait une erreur grossière avant de faire un arrêt exceptionnel juste avant la mi-temps. Ce jour-là je me suis dit qu’on avait basculé et que mentalement il était devenu très fort. Et non. On est tous confrontés à des erreurs, mais je n’ai pas aimé son attitude contre Barcelone. J’ai vu un mec fébrile, comme si c’était son premier match de Ligue des champions. Il n’a donné aucune confiance à ses défenseurs alors que ça devait être lui le patron. »