Désireux de se renforcer offensivement, le Paris Saint-Germain en pincerait pour Jamal Musiala et serait même disposé à passer à l’action dès le mois de janvier. Le Bayern Munich n’entend pas lâcher son crack allemand, valorisé à environ 180M€, soit le prix de Kylian Mbappé à son arrivée dans la capitale.
Le PSG a les idées claires pour le mercato hivernal ouvrant ses portes dans quelques jours. Comme vous l’a révélé le10sport.com, un ailier est notamment attendu dans la capitale, et la situation de Marcus Rashford à Manchester United pourrait inciter le club de la capitale à passer à l’action. Mais à en croire la presse étrangère, un autre profil XXL ne laisse pas indifférent le PSG.
Luis Enrique a des ambitions pour 2025 ! 🚀 Un grand nom en vue pour dynamiser le PSG, préparez-vous à du spectacle !
— le10sport (@le10sport) December 27, 2024
➡️ https://t.co/PGEpshxdr9 pic.twitter.com/dIuQKM7Jz5
Le PSG prêt à faire une folie pour Musiala ?
CaughtOffside l’affirme, le Paris Saint-Germain fait partie des clubs intéressés par Jamal Musiala, au point d’imaginer une offensive dès le mois de janvier, au même titre que Manchester City, Liverpool ou encore le Real Madrid. Une piste de choix puisque le Bayern Munich réclamerait une indemnité de transfert comprise entre 170 et 180M€ pour le crack allemand, sous contrat jusqu’en juin 2026.
« Je pense que nous en saurons plus pendant la trêve hivernale »
Les discussions se poursuivent pour la prolongation de Musiala en Bavière, mais le dossier n’a pas connu de grande évolution récemment. « En ce moment, je me concentre sur les matchs avec l'équipe nationale et le FC Bayern, expliquait l’Allemand de 21 ans le mois dernier dans un entretien accordé à RND. Je sais que beaucoup de regards sont tournés vers ma situation, mais j'essaie de me mettre le moins de pression possible. Il est important pour moi de rester en forme et de faire de mon mieux jusqu'à ce que j'aie un peu de temps pour me calmer. Ensuite, je pourrai prendre le temps de réfléchir à tout ça. Je pense que nous en saurons plus pendant la trêve hivernale ».