Pris à partie par Julien Fournier qui n’a pas manqué de porter des accusations frontales à son sujet concernant leur collaboration à l’OGC Nice l’an passé, Christophe Galtier se retrouve ua cœur d’une nouvelle polémique. Jean-Pierre Rivère, le président niçois, a évoqué tout ce sujet autour de l’entraîneur du PSG.
Mercredi soir, l’ancien directeur du football de l’OGC Nice, Julien Fournier, s’en est pris à Christophe Galtier au moment d’évoquer sa relation avec le nouvel entraîneur du PSG : « Les rapports que je pouvais avoir avec Christophe étaient, dès le début de la saison, chaotiques. Si j'explique les vraies raisons pour lesquelles Christophe et moi on s'est disputés, il n'entrera plus dans un vestiaire en France et en Europe. Ce sont des choses bien plus graves que le foot ». Finalement, à en croire les révélations de L’EQUIPE, le différend entre les deux hommes concernerait notamment la gestion du ramadan puisque Galtier aurait incité certains de ses joueurs musulmans à ne pas faire le jeun. Une polémique à laquelle l’entraîneur a brièvement répondu en conférence de presse, mais quelle est la version de l’OGC Nice ?
PSG : L’aveu de Christophe Galtier sur la rechute de Renato Sanches https://t.co/fHcX7AhGsg pic.twitter.com/dSbRrXehG0
— le10sport (@le10sport) October 2, 2022
« Oui, il y a eu des tensions »
Le président Jean-Pierre Rivère, interrogé au micro de Canal +, a confirmé le clash entre Galtier et Fournier la saison passée au club : « Oui il y a eu des tensions entre les deux hommes. J'étais à leurs côtés donc je pouvais le savoir. Vous savez, lorsqu'une saison est compliquée, ça crée des tensions dans le club, ça peut créer des tensions entre deux hommes. Mais honnêtement, il n'y a aucune matière pour créer la polémique. J'ai eu Julien tout à l'heure, il m'a dit "j'ai peut-être été maladroit", mais pour moi il n'y a pas de sujet. Cette histoire va se dégonfler toute seule. Il n'y a pas de quoi en faire un évènement », a-t-il confié.
Rivère évoque la polémique du ramadan
Le président niçois poursuit : « Le ramadan ? Ce que je peux vous dire c'est qu'à un moment dans la saison, on était un peu moins bien. Il y a des garçons qui pratiquent leur religion, il n'y a pas de soucis. On imagine que cela puisse créer des tensions, mais c'est une divergence de point de vue sur la gestion. Il n'y a pas de quoi en faire un évènement ». Voilà qui est clair.