PSG - Clash : Neymar, Dortmund... Sarabia en rajoute une couche sur le chambrage d’Haaland !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Alors que les joueurs du Borussia Dortmund n’avaient pas hésité à fanfaronner entre les matches aller et retour contre le PSG, Pablo Sarabia revient sur ces événements.

Tombeur du PSG en huitième de finale aller de la Ligue des Champions (2-1), le Borussia Dortmund a visiblement oublié qu'il y avait encore un match retour à disputer. En effet, entre les deux matches, plusieurs joueurs du club de la Ruhr n'ont pas hésité à se manifester sur les réseaux sociaux afin de chambrer les Parisiens, Erling Braut Haaland en tête. Auteur d'un doublé à l'aller, le Norvégien s'est distingué sur les réseaux sociaux en lâchant, à propos de Paris, « c'est ma ville pas la vôtre », juste avant le match retour. Un comportement qui a passablement agacé les joueurs du PSG qui ne se sont pas privés de se venger après leur victoire au match retour (2-0). Dans une interview accordée à la Onda Cero, Pablo Sarabia revient d'ailleurs sur cet épisode. 

Sarabia se rappelle des moqueries de Dortmund

« On était sous pression parce qu’on a perdu le match aller. Il y a eu plusieurs joueurs qui se sont moqués. Quand on est rentré en France, on a pris la meilleure revanche possible. Et au final, ça s’est passé comme ça », assure le joueur du PSG dans des propos rapportés par Foot Mercato. Une déclaration qui va dans le sens de ce que rappelait récemment Marquinhos, révélant que Neymar avait tout prévu pour sa vengeance : « Il y a eu plusieurs épisodes, certaines déclarations de joueurs après le match. Ils ont gagné le match aller et dans le tunnel, il y a eu des moqueries et des cris contre nous. Neymar aime cela. Il n’a pas peur, il répond toujours aux provocations. Il m’avait prévenu et m’a dit : "Laisse-moi faire, ne m’arrête pas" ».

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