Vente OM : Il dévoile une exclusivité
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Pour la première fois, Mohamed Ayachi Ajroudi, l’homme d’affaires franco-tunisien qui avait tenté de racheter l’Olympique de Marseille en 2020, s'est livré dans une interview exclusive avec Thibaud Vézirian. Tournée dans une atmosphère intimiste et sans filtre, cette rencontre a permis à l'homme d'affaires franco-tunisien de faire toute la lumière sur ce feuilleton trouble.

Pendant près de deux heures, Thibaud Vézirian a partagé un moment avec Mohamed Ayachi Ajroudi, l’homme d’affaires franco-tunisien qui avait tenté de racheter l’OM en 2020 en compagnie de Mourad Boudjellal. Un entretien qui a été diffusé sur sa chaîne YouTube et réalisé en partenariat avec TeamFootball. Ajroudi est revenu sur ce feuilleton et sur ses ambitions pour l’OM. L’homme s’était notamment fixé pour objectif de recruter Zinédine Zidane. « J’avais un rêve. Mon rêve à moi c’était de récupérer Zidane. On l’a eu à l’AS Cannes, il y en a qui ne savent pas, ils pensent que je suis un novice dans le football alors que j’étais un qui finançait l’AS Cannes de 87 à 92 » a-t-il reconnu.

« Une vraie exclu comme je les aime »

Au-delà des effets d’annonce, Thibaud Vézirian a apprécié cet échange. « Des thèmes variés, des sujets forts, des secrets dévoilés, une discussion de passionnés… Une vraie exclu comme je les aime. Le journalisme, c’est aussi mettre en avant des expériences, des expertises, donner la parole à ceux dont le nom a été sali, afin de rétablir une vérité » a-t-il écrit dans un édito publié par Team Football.

Un échange constructif avec Vézirian

Une fois les caméras éteintes, les deux hommes ont continué à discuter. « Quand la caméra s’éteint, l’échange continue. Encore et encore. Il aurait pu durer jusque tard dans la nuit. Comme si cette interview avait ouvert une parenthèse. Une forme de réparation. Et un plaisir commun. Avant même plusieurs jours de montage, déjà la satisfaction du travail bien fait. Avec honnêteté et transparence. J’ai senti qu’il y avait eu « des moments » » a confié le journaliste.

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