Attendue depuis de très longs mois à l'OM, l'Arabie Saoudite va-t-elle faire faux bond aux Marseillais ? D'après Jérôme Rothen ce serait clairement la tendance puisque les Saoudiens seraient en discussions avancées avec l'AS Monaco. Une annonce qui va probablement faire trembler les fans du club phocéen.
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— le10sport (@le10sport) February 21, 2024
L'Arabie Saoudite finalement vers l'AS Monaco ?
« Le club est en vente depuis quelques semaines, il y a du lourd qui va arriver derrière et de sources sûres, du côté de la famille princière et du club, il y a eu un rapprochement avec les saoudiens, des rendez-vous et des échanges entre un des princes saoudiens et le Prince Albert. C'est un prince qui est le numéro 2, derrière la famille royale saoudienne. C'est une grande grande famille, qui a très envie d'investir en France. Ce qui est sûr c'est qu'il y a eu beaucoup d'échanges ces dernières semaines, des rapprochements parce qu'ils ont aussi investis sur des biens privés qui appartenaient à la famille princière de Monaco. Rien à voir avec le foot. Ces affaires-là ont créé un rapprochement sur le football, le sport et il y a automatiquement de l'intérêt des Saoudiens », révèle-t-il au micro de Rothen s'enflamme sur RMC avant d'évoquer le cas de l'OM.
«Ils sont plus intéressés par l'AS Monaco que par l'OM»
« On m'a dit aussi qu'il y a eu un intérêt sur l'OM il y a quelques années, mais aujourd'hui il n'y a pas eu de suite. Ça ne veut pas dire qu'ils ne viendront pas, mais pour l'instant ils sont plus intéressés par l'AS Monaco que par l'OM. Mais il reste plein de détails à régler. La banque d'affaires (en charge de la vente de l'AS Monaco) a trois offres sur la table, mais c'est du côté des Russes. À Monaco c'est un peu particulier, parce qu'il y a 35% qui appartiennent à la famille princière. Donc automatiquement elle a aussi son mot à dire. Mais les Saoudiens s'ils venaient, ils investiraient beaucoup beaucoup d'argent et ils voudraient un petit peu plus que les 65% des parts. C'est toute la difficulté pour trouver un accord. Il y a des pourparlers et à mon avis s'ils veulent investir, ça ne va pas attendre trois ans », ajoute Jérôme Rothen.