Scène insolite à l’OM, il vole à son secours
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Fortement décrié depuis son arrivée en provenance du Borussia Dortmund il y a maintenant près de trois ans, Leonardo Balerdi est pris en grippe par une partie des supporters de l’OM. L’un d’eux a même récemment entamé une grève de la faim afin de réclamer son départ du club. Dans un entretien accordé à RMC, Lucho Gonzalez a pris la défense du défenseur âgé de 24 ans.

Exclu dès la trentième minute de jeu le week-end dernier face à Strasbourg (2-2), Leonardo Balerdi s’est une nouvelle fois attiré les foudres des supporters de l’OM. Alors que l’un d’eux avait entamé une grève de la faim, une pétition a même été lancée afin de réclamer le transfert du défenseur argentin, lui qui est sous contrat jusqu'en juin 2026 à Marseille. Les Olympiens avaient d'ailleurs repoussé les avances de l'Ajax Amsterdam lors du mercato hivernal, qui était venu aux renseignements. 

« Il y a toujours plus de critiques envers les uns qu’envers les autres »

« Balerdi est l’un des joueurs que j’aime le plus », a confié Lucho Gonzalez au sujet de Leonardo Balerdi, dans le podcast JOGA! de RMC. L’ancien milieu de terrain de l’OM a pris la défense de son compatriote : « Quand les résultats ne suivent pas, bien sûr que les critiques surgissent et il y a toujours plus de critiques envers les uns qu’envers les autres. Il faut comprendre les sacrifices que les supporters font pour être présents à chaque match. Je ne suis pas du genre à donner des conseils, sinon de dire qu’il faut continuer de travailler. »

« Il faut continuer de travailler »

« Le travail est la seule façon de renverser une situation donnée, même quand ça va bien il ne faut pas se griser et aspirer à plus. Et quand les choses ne se passent pas comme prévues, il faut continuer de travailler, indépendamment de ce qu'on dit, que ce soit positif ou négatif », a ajouté Lucho Gonzalez.

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