Comme l'a laissé entendre l'OM, par l'intermédiaire de Pablo Longoria et de Mehdi Benatia, il n'a jamais été question d'une arrivée de Paul Pogba cet hiver. Par contre, le club marseillais ne s'interdit pas un recrutement à la fin de la saison, une fois qu'il aura retrouvé le rythme. Possiblement en MLS ou en Turquie.
Le mercato hivernal vient de rendre son verdict, et Paul Pogba reste toujours sans club. Le milieu de terrain s’entretient physiquement, en attendant un défi à sa convenance. Les rumeurs l’envoyant à l’OM ont été démenties par Pablo Longoria et Mehdi Benatia. Par contre, la donne pourrait être bien différente à la fin de la saison. « On va suivre l'évolution sur les six mois, et s'il y a quelque chose à faire, on serait ravis d'avoir un joueur comme Paul Pogba pour nous donner un coup de main l'année prochaine, si l'occasion se présente » a confié l’actuel directeur du football marseillais.
Un sacrifice est demandé à Pogba
Comme indiqué par Nabil Djellit, l’aspect financier a dû compter dans ce dossier. « Il faut un compromis parce qu’il y a l’aspect financier qui rentre en ligne de compte. Il doit être partagé parce qu’il a sûrement eu des touches avec des clubs européens mais peut-être que financièrement, ça ne correspondait pas à ses attentes. J’imagine qu’il doit faire des efforts parce qu’il n’est plus le Pogba qui passait de la Juve à Manchester United. Il ne peut pas être sur les mêmes exigences » a confié le journaliste.
« Je pense qu’il peut faire un coup à la Zlatan »
En attendant, Pogba va donc devoir trouver un championnat assez compétitif pour lui permettre de retrouver le rythme. La MLS pourrait être une destination de choix selon Djellit. « Moi je pense qu’il peut faire un coup à la Zlatan, c’est à dire partir en MLS et revenir. S’il enchaîne, trouve une bonne hygiène de vie, je ne vois pas pourquoi il ne reviendrait pas à un bon niveau » a-t-il confié sur le plateau de L’Equipe de Greg. A moins qu’il ne prenne la décision de s’envoler pour la Turquie : « Je vois deux options, MLS ou la Turquie. Signer par exemple à Galatasaray, il y a la ferveur, Osimhen, de l’intensité. Les Turcs peuvent aussi payer, ça peut être un bon compromis ». Condition sine qua non pour signer dans un top club européen, un an avant le Mondial 2026.