OM : Le clan Longoria sort du silence en pleine tempête
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Depuis samedi soir, Pablo Longoria est dans l'œil du cyclone pour ses propos polémiques sur l’arbitrage après la défaite de l’OM à Auxerre (3-0) et l’emploi du mot « corruption ». Dans l’entourage du président de l’Olympique de Marseille, on explique qu’il ne le pensait pas réellement et souhaitait plutôt dénoncer du favoritisme ou un traitement de faveur.

Rien ne pouvait calmer Pablo Longoria samedi soir. La défaite de l’OM sur la pelouse d’Auxerre (3-0) a été éclipsée par les propos de son président, qui criait à la « corruption », agacé par des décisions arbitrales de Jérémy Stinat. Selon La Provence, Pablo Longoria assume ses propos, mais regrette tout de même l’utilisation de ce terme.

« Plus du favoritisme ou du traitement de faveur »

« Il l’a dit en pensant en espagnol, et ça se rapproche plus du favoritisme ou du traitement de faveur, comme pour le Real Madrid en Espagne, ou de défaveur. Il n’évoquait pas du tout un système d’achat généralisé des arbitres. Il pointait surtout le manque de transparence du système », explique-t-on dans l’entourage de Pablo Longoria.

L’OM n’est pas favorable à la Super League

Le président de l’OM a aussi qualifié la Ligue 1 de « championnat de merde » et assuré qu’il n’hésiterait pas à rejoindre la Super League si l’occasion se présente. Comme expliqué par L’Équipe, les propos de Pablo Longoria relèvent plus de la provocation que d’une volonté de participer à cette compétition, à laquelle le club s’est toujours fermement opposé.

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