OM : Clash, insultes... Nuno Tavares lâche une punchline après le Sporting
Amadou Diawara

Très performant face au Sporting la semaine dernière, Nuno Tavares aurait été victime d'insultes de la part de Ruben Amorim. Alors que l'OM a remporté ses deux rencontres face au club portugais en Ligue des Champions, le piston gauche d'Igor Tudor a tenu à régler ses comptes avec l'entraineur adverse. 

La semaine dernière, l'OM s'est relancé en Ligue des Champions en venant à bout du Sporting au stade Vélodrome (1-4). Auteur d'une performance XXL, Nuno Tavares a toutefois vécu un moment compliqué pendant la rencontre. En effet, le piston gauche d'Igor Tudor aurait été victime d'insultes de la part du technicien du Sporting Ruben Amorim. Interrogé sur ce clash avant le match retour au Portugal,Nuno Tavares a lâché toutes ses vérités. 

«Il a quand même essayé de me provoquer un peu»

« Il dit qu’il ne s’est rien passé, mais il sait très bien ce qu’il a dit. Si j’avais du respect pour cet entraîneur, je n’en ai plus du tout. Mais il faut avancer et il y aura un autre match. Comme il dit, c’est passé », a expliqué Nuno Tavares.

«Il devrait s’occuper davantage de garder ses joueurs sur le terrain»

Ce mercredi soir, l'OM a réalisé une très grosse opération en venant une nouvelle fois à bout du Sporting (0-2). Et comme l'a avoué Nuno Tavares, Ruben Amorim se serait encore mal comporté envers lui. « Sur le terrain, il a quand même essayé de me provoquer un peu. Je pense qu'il devrait s’occuper davantage de garder ses joueurs sur le terrain plutôt que d'envoyer des piques. Mais je ne m'en soucie plus. Nous avons gagné le match, je suis plus heureux avec ça », a confié Nuno Tavares, avant d'en rajouter une couche. 

«Quand tu craches ça finit par te tomber sur le front»

« Je n'ai pas à faire la paix avec lui. Comme je l'ai dit, il a essayé de m'envoyer une pique sur le terrain. Je n'ai même pas répondu, j'ai d'autres choses à craindre. Et parfois, quand tu craches, ça finit par te tomber sur le front », a conclu Nuno Tavares lors d'un entretien accordé à CNN Portugal

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