L’OM est «parano», le règlement de comptes !
Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

A la tête du premier vainqueur de la Ligue des champions en France se trouve Pablo Longoria. Un président avec un penchant « parano » du point de vue de Pierre Ménès qui a profité de sa rubrique Face à Pierrot dans l'optique de faire un bilan de tous les problèmes dénoncés par l'OM et des écarts de Pablo Longoria qui en disent long sur le climat d'insécurité dans la cité phocéenne.

Depuis l'hiver 2021, Pablo Longoria se trouve à la présidence de l'OM. Le dirigeant espagnol a vu passer plusieurs directeurs de la section sportive et entraîneurs au fil des années. Mais selon lui, un mal ronge l'Olympique de Marseille de l'intérieur comme affirmé en conférence de presse pendant son traditionnel bilan de fin de saison. Un mal qu'il compte « éradiquer ».

«Il y a un côté parano très exacerbé chez Longoria qui s’exprime à tous les niveaux : l’arbitrage, l’entourage»

Par le biais de sa chaîne YouTube : Pierrot Le Foot, Pierre Ménès s'est attardé sur le marasme ambiant marseillais où une atmosphère paranoïaque plane selon lui. « Wahi, Brassier, ça vient ça repart, ça s’en va et ça revient. C’est un management… j’allais dire hystérique, mais c’est un peu exagéré. C’est un système nerveux qui correspond finalement tout à fait à la personnalité de Longoria. Il prend, il jette. Il faut voir aussi le turnover assez invraisemblable qu’il y a dans les bureaux à l’OM. Et ça part, ça vient. On a changé le responsable de la comm, on a changé le DG. Je pense qu’il y a un côté parano très exacerbé chez Longoria qui s’exprime à tous les niveaux : l’arbitrage, l’entourage ».

«Il y a une insécurité dans ce club»

Dans sa rubrique Face à Pierrot, Pierre Ménès a dressé un constat alarmant d'insécurité ambiante à l'Olympique de Marseille avec les deux retraites en Italie en fin de saison comme exemple. « Il ne faut quand même pas oublier que l’OM est allé deux semaines s’entraîner à Rome parce que l’ambiance à la commanderie était selon Longoria « néfaste ». Je ne sais pas si on se rend compte de l’énormité de ce truc : le club se barre de son centre d’entraînement parce que l’ambiance y est néfaste. Il y a une insécurité dans ce club ».

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