Cela fait maintenant quelques jours que l’actualité autour de l’OM est animée par ce qui est arrivé dans le vestiaire entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe. Après la défaite face à Rennes, les deux coéquipiers en sont venus aux mains. Une altercation qui n’en finit plus de faire parler, mais voilà que cet événement n’a pas manqué de déclencher un clash sur La Chaine L’Equipe.
Alors qu’il n’est pas surprenant de voir deux coéquipiers en venir aux mains dans un vestiaire de football, le bagarre entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe à l’OM a plus que jamais fait du bruit. Une altercation visiblement très violente qui deux semaines plus tard continue de faire l’actualité. Cependant, attention à ce qu’on peut dire dessus face à Johan Micoud et Grégory Schneider vient d’en faire l’expérience…
« Un vestiaire où manifestement on s’échange les bignes pour un oui ou pour un non »
Sur le plateau de L’Equipe du Soir, Grégory Schneider a réagi à l’arrivée d’Hamed Traoré à l’OM, faisant au passage une référence à la bagarre qui a éclaté il y a quelques jours entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe. « Les échos qu’on peut avoir d’Auxerre, c’est un mec tranquille. C’est un type un peu introverti. Dans un vestiaire où manifestement on s’échange les bignes pour un oui ou pour un non, ça sera peut-être un peu plus compliqué. Mais footballistiquement, il n’y a rien à dire », a alors balancé le journaliste.
« Quand je suis sur le plateau, on ne dit pas ça »
Mais voilà que ces propos n’ont clairement pas plu à Johan Micoud. C’est ainsi qu’il s’est permis de recadrer Grégory Schneider, lâchant : « Je ne peux pas te laisser dire des trucs pareils. Pour un oui pour un non, ils se tapent dessus. Tu ne peux pas dire des trucs pareils. Parce qu’il y a eu une bagarre une fois dans le vestiaire… Je trouve ça trop facile de dire des trucs pareils. Quand je suis sur le plateau, on ne dit pas ça. Je trouve que c’est déplacé, c’est trop facile de parler comme ça. Là, tu parles de joueurs, qu’ils se tapent dessus tout le temps, ce n’est pas vrai en fait. C’est arrivé une fois. C’est très déplacé de dire ça ».