Terrible rechute pour l'OL. Opposés au LOSC, les hommes de Fabio Grosso se sont de nouveau inclinés et restent englués à la dernière place d'une Ligue 1 dominée par le PSG. Conscient que les choses se compliquent, le coach des Gones ne se veut pas fataliste et croit encore au maintien même après cette nouvelle débâcle.
Et de 9. Dimanche soir, en clôture de la 13ème journée de Ligue 1, l'OL a concédé son 9ème revers de la saison en championnat. Bons derniers, les Gones filent tout droit vers la Ligue 2. Malgré tout, Fabio Grosso y croit encore et il a souhaité le faire comprendre à ses joueurs après la rencontre.
Grosso en sang, le vestiaire de l'OL fait une révélation https://t.co/Ec73xPVPSF pic.twitter.com/0uyk82ibwU
— le10sport (@le10sport) November 26, 2023
«Je reste avec courage, envie, détermination»
De passage au micro de Prime Vidéo, le coach de l'OL n'a pas voulu condamner le club rhodanien en Ligue 2, estimant qu'il y avait la place de faire mieux. « Si je me sens perdu ? Non moi je ne me sens jamais perdu. On sait que c'est très difficile, mais je ne me sens jamais perdu. Il y a la place pour batailler, pour essayer. Je reste avec courage, envie, détermination et je compte sur les joueurs qui ont ces caractéristiques. J'essaie de faire mes choix au mieux pour l'équipe », a lancé le champion du monde 2006, avant de poursuivre.
«Gagner suffisamment pour reprendre les équipes juste devant»
« On sait qu'on est derniers, qu'on joue contre le quatrième, il y a une différence sur le terrain. C'est difficile à dire puisqu'on perd le match mais on a plusieurs occasions, on prend un but et un deuxième tout de suite. Bien sûr qu'on est fragiles et qu'il y a des choses à améliorer mais on essaie de le faire pour remonter au classement. Les joueurs qui sont rentrés sont bien rentrés. Malheureusement on perd le match. On sait qu'à notre position on perdra plus de matchs qu'on en gagnera, mais il faut en gagner suffisamment pour reprendre les équipes juste devant. Ce n'est pas facile à dire quand on joue pour l'OL, mais c'est comme ça », a complété Fabio Grosso.