Pascal Praud lâche tout pour le FC Nantes, il balance son nouveau salaire !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

En janvier 2008, Pascal Praud décide de tout plaquer pour rejoindre le FC Nantes où il sera conseiller du président Waldemar Kita. Alors journaliste à TF1, il change complétement de vie. Une révolution sur laquelle il est revenu tout en dévoilant le salaire que lui ont offert les Canaris pour le convaincre.

Désormais habitué à parler politique sur les plateaux de CNews et Europe 1, Pascal Praud a toutefois lancé sa carrière de journaliste dans le sport jusqu’en janvier 2008 et son arrivée au FC Nantes où il devient conseiller du président Waldemar Kita. Jusque-là bien installé chez TF1, où il touchait environ 9 000€ par mois comme il le révèle, Pascal Praud s’est vu offrir le double pour rejoindre les Canaris soit un salaire qui devait avoisiner les 18 000€ mensuel.

Pascal Praud raconte son arrivée à Nantes 

« À TF1, j'étais sur une voie de garage. Thierry Gilardi arrive, je suis viré de Téléfoot en décembre 2003, je travaille pour les journaux télévisés. Je couvre l'Euro 2004, la Coupe du monde 2006, mais je m'ennuie. Je gagne très bien ma vie, je me souviens que mon dernier salaire, c'était 9 000 euros. Mais j'ai envie de bouger », révèle-t-il dans les colonnes de L'EQUIPE, avant de poursuivre.

«Je multiplie mon salaire par deux»

« Je vais voir Nonce Paolini (le directeur général de la chaîne) et je lui dis : "J'ai une proposition du FC Nantes mais je ne partirai que si vous me donnez un chèque." Il a apprécié, je crois, que je lui dise la vérité et je suis effectivement parti avec un gros chèque, puisque j'avais vingt ans de boîte. À Nantes, je multiplie mon salaire par deux, j'ai un appartement de fonction, une voiture. Cela prouve qu'il ne faut jamais faire les choses pour l'argent », ajoute Pascal Praud.

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