Il y a quelques années maintenant, Pierre Ménès était la tête d’affiche de Canal+ et surtout du Canal Football Club. Après avoir officié sur M6, le journaliste a donc rejoint la chaine cryptée, lui qui a adoré travailler à la télévision, préférant même cela à la presse écrite. Pierre Ménès s’est ainsi régalé, mais ça ne l’a pas empêché de faire certaines conneries.
Commentant aujourd’hui l’actualité du football sur sa chaine Youtube, Pierre Ménès a pendant de longues années était la star du Canal Football Club. Sur Canal+, le journaliste était apprécié pour ses propos sans langue de bois. D’ailleurs, sur un plateau de télévision, Pierre Ménès s’est régalé, même s’il a pu faire certaines erreurs…
« Je kiffais bien ma façon d'être en plateau »
Invité de La Base, Pierre Ménès est revenu sur ses années à la télévision. Et le journaliste a notamment avoué : « Qu'est qui m'a le plus plu, la presse écrite ou la télé ? La télé, parce que je pense que j'étais bien meilleur à la télé qu'à l'écrit. Je n'ai jamais eu de grandes prétentions en termes de qualité de plume. Je trouvais ce que je faisais assez basique alors que je dois avouer que je kiffais bien ma façon d'être en plateau. C'est quoi qui a fait ma force ? Je dirais que j'avais un bon cocktail de compétences. Tu ne peux pas durer 15 ans à la télé à fracasser des mecs en disant que des conneries, c'est compliqué même s'il m'est arrivé d'en dire ».
« Un jour j'ai taillé un mec qui n'avait pas joué »
Et parmi les conneries de Pierre Ménès sur le plateau du Canal Football Club, on retrouve notamment la fois où il avait mis Ibrahim Sangaré, alors à Toulouse, dans ses flops… alors qu’il n’avait pas joué la rencontre. « Quelle connerie ? Un jour j'ai taillé un mec qui n'avait pas joué. Je ne l'avais pas mis en flop car je ne l'avais pas vu. Je ne risquais pas de le voir car il n'avait pas joué. Ce jour-là, j'avais 40 de fièvre. (...) Il y avait la compétence, le fait d'être rentre dedans et l'humour. Je pense que j'avais ce bon cocktail que beaucoup de gens n'ont pas », a expliqué Pierre Ménès.