Bertrand Latour : Les gros doutes dans le CFC…
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

A la fin de la saison, les meilleures équipes auront la tête tournée vers la Coupe du monde 2026. La compétition aura lieu en Amérique du Nord à partir du 11 juin et cette édition sera la première à réunir 48 équipes au lieu de 32. Mais pour Bertrand Latour, ce n'est pas forcément une bonne nouvelle sur le plan sportif...

L'édition 2026 de la Coupe du monde va voir naître une compétition complètement inédite grâce à ce nouveau format de compétition. Avec cette augmentation du nombre d'équipes, cela permet à plus de nations qui n'ont pas forcément la chance de participer à ces grands rendez-vous d'y figurer et de rencontrer potentiellement des grands favoris. De belles histoires qui pourraient avoir un impact négatif sur l'intérêt de certains matches.

Bertrand Latour pas convaincu

Journaliste du Canal Football Club désormais, Bertrand Latour est revenu sur la Coupe du monde 2026 après que les éliminatoires ont délivré leur verdict ces dernières saisons. Haïti fait notamment partie des nations qualifiées. « C’est sûr que plus il y a de participants à la Coupe du monde, plus la possibilité d’y voir des équipes qui n’y figuraient pas existe. De ce point de vue là, il y aura des belles histoires à raconter, après on pouvait aussi considérer que participer à la Coupe du monde, c’était l’élite des différentes confédérations et s’y qualifier était extrêmement difficile et ça garantissait une certaine homogénéité des rencontres » souligne d'abord Latour dans l'émission de Canal+.

Une Coupe du monde qui va manquer de suspense ?

Avec autant d'équipes qualifiées, les différences de niveau pourraient se démarquer encore un peu plus entre les plus grandes nations et celles qui n'ont pas ou très peu d'expérience à ce niveau, comme Haïti. « Là, le travers de l’arrivée de ces équipes, c’est qu’un certain nombre de matches sera déséquilibré et ce qu’on aime quand on regarde un match, c’est aussi le suspense. Parfois, il y en aura moins mais ça va générer des histoires très sympa à raconter » poursuit Bertrand Latour.

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