Depuis quelques années maintenant, Marion Rousse est en couple avec Julian Alaphilippe. De par son travail, la jeune femme est souvent amenée à commenter les courses de son compagnon, ce qui n’est pas toujours facile. La directrice du Tour de France féminin avait vécu un moment compliqué lors de la chute du coureur à Liège en avril 2022.
Si en privé Marion Rousse forme un couple avec Julian Alaphilippe, cela la suit même jusque dans le travail. En effet, l’ancienne coureuse doit parfois commenter les courses de l’homme qui partage sa vie, mais cela n’est pas trop difficile pour elle, comme elle le révélait en juin 2024 au journal La Tribune. « On me demande souvent comment je fais, mais j'arrive à dissocier le champion du compagnon. Il n'y a pas de place pour les sentiments. Lorsque je n'arriverai plus à faire la différence, alors je devrai changer de boulot. »
« Il s'agissait là de sa santé »
Il est donc facile pour Marion Rousse de commenter les courses de Julian Alaphilippe, mais ce n’est toutefois pas toujours le cas. En avril 2022, la directrice du Tour de France féminin avait vécu un moment très compliqué à l’antenne car son compagnon avait fait une grosse chute lors d’une course à Liège. « Ce fut le seul moment à l'antenne qui a été compliqué à vivre parce qu'il s'agissait là de sa santé. Le médecin de l'équipe m'a appelée très rapidement et j'ai pu parler à Julian dans l’ambulance. »
« Je n'arrivais plus à trouver les bons mots »
Après cette grosse chute, Julian Alaphilippe a eu beaucoup de mal pendant deux ans. Marion Rousse était quelque peu démunie pour essayer de faire retrouver le sourire à son compagnon et c’est la venue au monde de leur fils Nino qui a grandement aidé le coureur français. « C'est vrai qu'il a mis du temps à rebondir. Il n'arrivait pas à montrer de quoi il était capable parce qu'il était stoppé dans son élan par des chutes. J'essayais de le rassurer, de le réconforter, mais au bout de deux ans, je n'arrivais plus à trouver les bons mots. J'étais tout autant affectée que lui. Je pense que Nino, notre petit garçon, nous a beaucoup aidés à traverser cette sale période. »