Cela fait maintenant une semaine que l’on peut retrouver Marion Rousse aux commentaires du Tour de France sur l’antenne de France Télévisions. Alors que cela fait maintenant quelques années que la consultante remplit cette mission, la compagne de Julian Alaphilippe reconnait toutefois qu’il existe une certaine pression autour de la Grande Boucle. Il faut dire que le Tour n’est pas un événement comme les autres.
Le 5 juillet dernier, le peloton du Tour de France s’élançait de Lille pour 3 semaines de compétition. La guerre est donc aujourd’hui ouverte pour ramener le maillot jaune sur les Champs-Elysées, une tunique de leader actuellement portée par Tadej Pogacar. Un événement que l’on peut retrouver sur les chaines du groupe France Télévisions avec notamment Marion Rousse aux commentaires. Si l’ancienne championne de France n’est aujourd’hui plus sur un vélo, la pression reste tout de même présente chez la compagne de Julian Alaphilippe.
« On a une pression particulière »
Dans un entretien accordé à actu.fr, Marion Rousse a raconté la pression qui l’accompagne durant le Tour de France. La consultante pour France Télévisions a ainsi fait savoir : « Le Tour, c'est la plus belle course au monde. On a une pression particulière. C'est un événement sportif, mais c'est bien plus encore : la caravane, les spectateurs et téléspectateurs, l'accessibilité des champions. C'est magique. C'est une course particulière. Une pression supplémentaire ? On parle à des millions de téléspectateurs. Nous aussi, on doit être performants. On a une petite pression sur les épaules, et puis de l'émotion, de l'excitation avant un grand départ ».
« Je suis assez scolaire dans ma façon de faire »
Qui dit événement spécial, dit préparation en conséquence. Marion Rousse a ainsi fait ses révisions avant le Tour de France comme elle a pu l’expliquer : « Comment je me prépare pour le Tour de France ? La préparation se fait bien en amont avec des reconnaissances d'étapes et bien sûr, on regarde les courses tout au long de l'année pour vraiment savoir à quel niveau de forme évoluent les différents cyclistes. Et puis il faut bien préparer l'étape. Je suis assez scolaire dans ma façon de faire, j'étudie bien le parcours, je lis beaucoup les réactions après l’arrivée. Après, il faut rester concentrée pendant tout le direct. Essayer de voir ce que les autres ne voient pas. Être vraiment vigilante au coup de pédale des coureurs pour imaginer la suite de la course ».