Actuellement sur France Télévisions pour commenter le Tour de France, Marion Rousse enfilera d’ici quelques jours une autre de ses casquettes. En effet, à partir du 26 juillet prochain, la compagne de Julian Alaphilippe aura son costume de directrice du Tour de France femmes. Un rôle qui va donner un certain stress à Marion Rousse.
Après les hommes, ce sera au tour des femmes de disputer le Tour de France. Pour elles, le départ sera donné le 26 juillet prochain de Vannes. Au programme 9 étapes pour lutter pour le maillot jaune et une arrivée finale qui se trouvera du côté de Châtel. Comme pour les précédentes éditions, c’est Marion Rousse qui sera aux commandes de la compétition. Actuellement aux commentaires du Tour de France hommes sur France Télévisions, la directrice du l’édition féminine enfilera donc son costume d’ici quelques jours.
« J’ai plus de responsabilité sur les épaules »
Marion Rousse en a des casquettes, mais celle de directrice du Tour de France féminin est clairement la plus stressante. Dans un entretien accordé à La Croix, elle a expliqué sur ce rôle qu’elle occupera très prochainement : « Le plus stressant reste mon rôle de directrice du Tour de France femmes. Je veux évidemment que l’événement se déroule bien, et j’ai plus de responsabilité sur les épaules, même si j’ai aussi envie d’être au top pour commenter devant des millions de téléspectateurs. Quand on est directrice du Tour, on l’est tout au long de l’année. Durant la période où je suis consultante, lorsque je quitte le plateau de France Télévisions, j’ai bien souvent la visite d’un élu qui vient postuler pour une future étape du Tour de France femmes ».
« Diriger la plus belle course du monde, ce n’est pas un boulot, c’est une mission »
« En tant que directrice, j’incarne le Tour, je dois être disponible pour en parler. Christian Prudhomme (le directeur du Tour de France) le dit souvent. Diriger la plus belle course du monde, ce n’est pas un boulot, c’est une mission, et il n’y a pas d’études pour apprendre à la remplir. Tu apprends sur le terrain, j’ai appris à être directrice comme j’ai appris à être consultante et j’ai eu la chance que Christian me prenne sous son aile au début. Il voulait faire pour moi ce que son prédécesseur, Jean-Marie Leblanc, avait fait avec lui, toujours avec bienveillance. Je l’apprécie énormément. On a des tempéraments un peu différents. Par contre, on a le même amour du Tour », a enchainé Marion Rousse.