Tennis : Après un gros clash, il balance tout !
La rédaction

Ce dimanche 21 juillet était un grand jour pour Arthur Fils. Opposé à Alexander Zverev en finale de l’ATP 500 d’Hambourg, le Français est parvenu à arracher la victoire face au numéro 4 mondial, remportant son second trophée, le plus prestigieux de sa carrière. Alors que l’attitude de l’Allemand a également beaucoup fait parler, visiblement particulièrement irrité de s’incliner, Fils a dévoilé la raison de l’énervement de son opposant.

Après 3h33 de jeu et trois sets, Arthur Fils est parvenu à battre Alexander Zverev ce dimanche après-midi sur la terre battue d’Hambourg (6-3, 3-6, 7-6). Si c’est bien évidemment la performance du joueur français qui est mise à l’honneur et fait les gros titres, l’attitude du numéro 4 mondial a aussi beaucoup marqué. En toute fin de match, l’Allemand semblait proche de perdre ses nerfs. Arthur Fils a expliqué quelle était la raison de cette attitude.

Alexander Zverev frustré en fin de match

Alors que le score du troisième set était de 6-5 en faveur d’Arthur Fils, les deux joueurs ont changé de côté. Lorsque le Français est passé devant le banc où était assis Alexander Zverev, ce dernier s’est adressé à lui. S’il est impossible de connaître les mots prononcés par celui qui jouait à domicile, le ton employé semblait particulièrement virulent. Après avoir perdu le jeu suivant, les deux joueurs se sont rendus au centre du court pour se serrer la main. Là encore, l’Allemand s’est montré extrêmement froid, regardant à peine son opposant du jour.

Arthur Fils révèle ce qui a énervé Zverev

Interrogé par L’ÉQUIPE après la fin de la rencontre, Arthur Fils a répondu à une question portant sur l’attitude d’Alexander Zverev. Le Français explique que c’est son service qui a fait perdre ses nerfs à l’Allemand : « Il n’y a rien d’important. Il était énervé par mon service, oui. Mais après trois heures, j’avais des crampes et je ne pouvais pas servir. Je n’ai pas vraiment compris, mais ça ne change rien à notre bonne relation et au fait que c’est un grand champion. »

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