Une page se tourne au Stade toulousain. Depuis ce lundi, Pita Akhi n’est plus un joueur des Rouge-et-Noir. Le centre de 33 ans rejoint les Blues d’Auckland en Nouvelle-Zélande. Le Néo-Zélandais a d’ailleurs livré les coulisses de son transfert à Toulouse en 2018, en indiquant que le deal aurait pu capoter à cause d’un détail important.
Au Stade toulousain, c’est une page qui se tourne. Ce lundi, les Rouge-et-Noir ont officiellement perdu Pita Akhi. A 33 ans, le centre a décidé de rentrer au pays en signant chez les Blues d’Auckland en Nouvelle-Zélande. Le Néo-Zélandais s’est d’ailleurs livré sur les coulisses de son transfert en 2018, peu de temps après celui d’Antoine Dupont. Et Pita Akhi affirme qu’un détail aurait dû l’empêcher de rejoindre le Stade toulousain.
«Je ne devais pas venir à Toulouse à cause de ma visite médicale»
« Il y a eu quelques difficultés au début, mais ça fait partie du rugby. Je ne sais pas si j’ai le droit de le dire, mais à l’origine, je ne devais pas venir à Toulouse à cause de ma visite médicale. Finalement, on a trouvé une solution pour que je puisse rester un an. C’était principalement à cause de mon genou. J’avais été opéré du genou en Nouvelle-Zélande mais l’opération s’était infectée ce qui avait beaucoup ralenti ma guérison. Le chirurgien m’avait dit à l’époque qu’il y avait un risque qu’après l’opération, je ne sois plus jamais à 100% pour rejouer au rugby » a d’abord expliqué le joueur de 33 ans pour les médias du Stade toulousain.
«C’est ma femme qui m’a poussé à venir»
« Mais nous avons décidé de prendre le risque car le rugby fait partie de ma vie. Cela a été difficile, mais aujourd’hui nous sommes là. C’est ma femme qui m’a poussé à venir à Toulouse car pendant les négociations, comme au départ ils ne voulaient pas de moi, je ne voulais plus venir. Mais ma femme m’a dit de saisir l’opportunité de venir à Toulouse pour un an et voir ce qui se passerait. Le reste appartient à l’histoire » a ensuite ajouté Pita Akhi.