Rugby : «Je n’aime pas qu’on me fasse ch*ier», Urios règle ses comptes !
Axel Cornic

Christophe Urios s’est exprimé ce dimanche au sujet de sa relation tumultueuse avec Ronan O’Gara, qui a connu quelques grosses tensions ces dernières années. Mais la hache de guerre semble enfin être enterrée entre le manager de l’ASM Clermont Auvergne et son homologue du Stade Rochelais !

Bien connu en Top 14, Christophe Urios n’a pas la langue dans sa poche et on ne compte plus les petits accrochages verbaux avec les autres entraineurs. Cela a notamment été le cas avec Ronan O’Gara, qui ce samedi a pourtant surpris tout le monde en laissant entendre que tout allait pour le mieux maintenant. « Ça fait peut-être cinq ans que je n'ai pas parlé à Christophe. Je sais que c'est un milieu très compétitif mais c'est bien, je lui ai serré la main avant le match et maintenant, c'est l'amour » a déclaré le manager du Stade Rochelais, bien connu également pour être une personnalité sulfureuse.

« Ronan c’est le spécialiste de ça, à brancher les types »

Invité de l’émission Stephen Brunch ce dimanche, Christophe Urios a été invité à revenir sur cette sortie surprenante d’O’Gara. « Avec son accent je n’ai pas bien compris si c’est l’amour, ou la mort (rire). C’est vrai qu’on se prend la tête avec des types et ça m’arrive souvent, parce que je suis tellement dans mon truc. Je n’aime pas qu’on vienne me faire chier, ça fait partie de moi. Et Ronan c’est le spécialiste de ça, à brancher les types » a déclaré le coach de Clermont, au micro de RMC Sport.

« En fait il est arrivé dans notre vestiaire, avec quelques bières »

« C’est vrai qu’on s’était pris plusieurs fois la tête et hier il se trouve qu’à la mi-temps dans les escaliers je me retrouve face à lui donc j’étais un peu... pas obligé, parce que si je n’avais envie je ne l’aurais pas fait, je lui aurais même marché sur le pied. Mais je lui ai serré la main et il m’a fait une phrase assez surprenante en me donnant rendez-vous à la fin du match » a raconté Christophe Urios. « Moi à la fin, j’étais un peu déçu et je faisais mon chemin. En fait il est arrivé dans notre vestiaire, avec quelques bières et j’ai trouvé ça vachement sympa. On a bu une petite bière tous les deux et évidemment que ça a fait rire le vestiaire ».

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