XV de France : Le vestiaire de Galthié annonce la couleur aux All Black
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Alors que la Coupe du Monde de Rugby démarrera au mois de septembre avec un choc d'entrée de jeu pour le XV de France face à la Nouvelle-Zélande, le 2e ligne toulousain Thibaud Flament se projette sur cette grande affiche. Et il ne cache pas l'enthousiasme et l'excitation du groupe à l'idée de défier les All Black...

Du 8 septembre au 28 octobre prochain, la Coupe du Monde de Rugby se déroulera en France, une compétition pour laquelle les Bleus semblent avoir toutes leurs chances malgré la récente concédée face à l'Ecosse en match de préparation (25-21). Et pour débuter la compétition, le XV de France aura le droit à du lourd d'entrée de jeu, puisque les hommes de Fabien Galthié affronteront la Nouvelle-Zélande. Dans un entretien accordé à RMC Sport, le 2e ligne Thibaud Flament se prononce sur ce choc contre les All Black.

« On est excités »

« Moi je dirais que c'est excitant. C'est un gros défi, d'entrée au Stade de France. Match d'ouverture de la Coupe du monde, la Nouvelle-Zélande, le Haka… enfin bon, c'est excitant quoi. C'est des matchs qu'on a qu'on a envie de jouer. Moi, je me souviens que lorsqu’on avait joué la Nouvelle-Zélande, d'être en face du Haka, ça m'avait vraiment boosté. Je me souviens, on était tous serrés… c'était vraiment un moment spécial. Donc ouais, de les retrouver, en plus ils sont en forme en ce moment, ça va être un gros match. Et franchement, on est excités », indique Flament

Les Bleus se préparent au combat 

Et le joueur du Stade Toulousain se confie également sans détour sur la préparation du XV de France pour cette Coupe du Monde : « On sait qu'on se prépare un peu pour la plus grosse échéance depuis quatre ans. Voilà, on en est tous conscients et je pense le travail qu'on a fait jusqu'à présent mène à cette compétition. Donc oui, il y a une saveur différente. On le garde toujours un peu en fil rouge. On l'a toujours un peu en tête. Ça permet aussi de voir la prépa un peu comme ça. Ça donne du sens aussi à toute cette prépa qu'on a fait : quand c'était dur, quand on faisait du physique et qu'on était dans des moments un peu compliqués. Voilà, ça, ça donne du sens à ce qu'on a fait et ça nous aide à avancer. Donc on le garde bien en tête pour avancer ». Voilà qui est clair.

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