Christophe Urios : La grave erreur...
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Après avoir arraché sa place en Playoffs du Top 14 grâce à une très belle victoire à Montpellier (26-13), l'ASM Clermont a finalement sombré contre Bayonne (3-20) quelques jours plus tard. Invité à commenter cette semaine à rebondissements, Christophe Urios reconnaît qu'il a sa part de responsabilité.

La dernière semaine de compétition aura été agitée pour l'ASM Clermont. Et pour cause, après avoir arraché la cinquième à la dernière journée grâce à une magnifique victoire à Montpelier (26-13), les Auvergnats ont très lourdement chuté quelques jours plus tard à Bayonne en Playoffs du Top 14 (20-3). Une humiliation que Christophe Urios a mal vécue et qui le pousse à faire son mea culpa concernant la gestion de ces quelques jours.

Christophe Urios fait son mea culpa

« Non, je n’ai pas parlé de ce match de Bayonne évidemment, mais la symbolique est là, évidemment. À Montpellier, pour ce dernier match à haute pression, tu es capable d’aller chercher une grosse performance. Et au moment où il n’y a plus qu’à la confirmer, on n’a pas su le faire, pour plein de raisons. Donc, par rapport au constat et au postulat qu’on a établis, je trouve qu’on a amené des solutions et les joueurs y répondent extrêmement bien pour l’instant », confie-t-il dans les colonnes du Midi-Olympique, avant de poursuivre.

«Je n’ai pas très bien géré la semaine»

« Je ne saurais pas le dire, parce qu’évidemment, ça fait partie de ces choses… Je pense aussi que je n’ai pas très bien géré la semaine. On a joué à Montpellier le samedi, on est rentrés très tard, on devait rejouer le vendredi à Bayonne… Je pense que la semaine était un peu trop chargée. Au-delà de notre non-match, il était évident qu’on n’était pas frais et en ce sens, je pense que c’est notre semaine qui n’a pas été bonne », ajoute Christophe Urios.

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