F1 : Verstappen, Red Bull… La guerre est déclarée !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Ce dimanche, à Singapour, Max Verstappen va tenter d’aller chercher un 3ème succès consécutif. Le Néerlandais s’élancera de la deuxième place de la grille de départ. N’ayant pas pu aller chercher la pole position de George Russell, le pilote Red Bull était d’ailleurs particulièrement remonté contre Lando Norris, qui l’aurait gêné. Le Britannique n’a pas manqué de répondre, mettant ainsi en avant les tensions entre les deux camps.

Pas de pole position pour Max Verstappen ce dimanche à Singapour. Alors que c’est George Russell qui s’élancera en tête du Grand Prix, le pilote Red Bull a dû se contenter de la deuxième place après les qualifications. Mais voilà que ce résultat était loin de convenir au quadruple champion du monde. Et pour cause. En effet, Verstappen a estimé avoir été gêné par Lando Norris, ce qui l’a alors privé de cette pole position à Singapour et chez Red Bull, on n’a pas manqué de se plaindre de cela.

« Ils se plaignent de tout. C’est Red Bull ! »

Mais voilà que la réponse de Lando Norris a été immédiate. Dans des propos rapportés rapportés par F1i, le pilote McLaren a ainsi réglé ses comptes, déclarant alors la guerre avec Red Bull et Max Verstappen. « Ah, ils se plaignent toujours. Ils se plaignent de tout. C’est Red Bull ! (…) J’avais trois secondes d’avance sur lui, peut-être plus. Franchement, je ne comprends pas de quoi il parle », a balancé le Britannique.

Verstappen gêné par Norris ?

Max Verstappen estime donc avoir été gêné par Lando Norris. A ce propos, le pilote Red Bull avait expliqué : « En qualifications, on essaie toujours d’avoir six ou sept secondes d’écart avec la voiture devant pour ne pas être perturbé. Normalement, en Q3, on ne voit personne. Mais ici, c’est un circuit urbain, et parfois, les écarts se réduisent. Avec seulement deux ou trois secondes d’avance, on manque d’air pur. J’ai perdu un peu d’adhérence et j’ai tiré tout droit. Ce n’est pas dramatique, mais ce n’est jamais agréable ».

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