F1 : Une guerre «psychologique» avec Lewis Hamilton, Max Verstappen dit tout !
Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

Max Verstappen en a fait du chemin depuis cette soirée aux multiples rebondissements de décembre 2021 à Abu Dhabi, moment de son premier sacre mondial face à Lewis Hamilton au terme d'une saison psychologiquement éprouvante et malsaine. Le Néerlandais est passé aux aveux dans le cadre de ce Grand Prix du Mexique.

En 2021, Lewis Hamilton et Max Verstappen se sont rendus coup pour coup pendant la dernière ligne droite du championnat du monde de Formule 1. Et alors que le septuple champion du monde pensait avoir fait le plus dur à Abu Dhabi, une Safety Car a tout relancé mettant sur orbite Verstappen qui raflait sa première couronne mondiale dans un final hollywoodien. Au fil de la saison, une guerre psychologique s'était mise en place entre les deux hommes.

«Je n'ai plus besoin des jeux psychologiques comme face à Hamilton»

C'est du moins ce qu'a révélé Max Verstappen au Telegraaf en marge du Grand Prix du Mexique qui a lieu en ce moment même à l'autodromo Hermanos Rodriguez à Mexico. « C'est difficile à dire. À l'époque, c’était un peu le petit jeu avec lequel je jouais aussi. Est-ce que je le referai ? Non, je n'ai plus besoin des jeux psychologiques comme face à Hamilton ».

«On est forcément plus nerveux quand on n’a pas encore été champion du monde»

Disposant de quatre titres de champion du monde acquis depuis cette bagarre psychologique avec Lewis Hamilton en 2021, Max Verstappen se dit bien mieux préparé mentalement que Lando Norris et Oscar Piastri qui le devancent dans cette course aux championnats du monde. « À l'époque, je n'avais jamais remporté de titre mondial. Et maintenant, j'en ai quelques-uns, et eux (Piastri et Norris) n'en ont pas. Et à cette étape-là, on est forcément plus nerveux quand on n’a pas encore été champion du monde que lorsqu’on a déjà des titres ».

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