F1 : «Il était très énervé», Verstappen a explosé !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Il y a peu, Max Verstappen a été sanctionné par la FIA pour propos injurieux après que le Néerlandais ait prononcé le mot «F*ck» à plusieurs reprises. Si cette sanction n’a pas du tout plus au triple champion du monde, l’un des commissaires de l’instance est revenu plus en détail sur cette affaire ayant pris des proportions importantes.

Au cours du Grand Prix de Singapour il y a deux semaines, Max Verstappen a été sanctionné. Et pour cause, le triple champion du monde a prononcé l’injure «F*ck» en pleine conférence de presse. Cela n’a clairement pas plu à la FIA, qui l’a rapidement sanctionné. Depuis, le Néerlandais se montre très peu loquace face aux médias afin de protester contre cette sanction.

« Une conférence de presse n’est pas le lieu pour cela »

Commissaire de la FIA, Johnny Herbert est revenu plus en détail sur la sanction attribuée à Max Verstappen : « Lors de la conférence de presse à Singapour, Max a utilisé le mot en F à propos de sa voiture. Les conférences de presse sont retransmises dans le monde entier. Il y a plus de jurons qu’il n’y en a jamais eu. Une conférence de presse n’est pas le lieu pour cela. Certains journalistes ont dit que le sport essayait de faire des pilotes des robots. Ce n’est pas le cas. Vous leur demandez simplement de ne pas jurer, ce qui me semble être la bonne chose à faire. La plupart des pilotes ne jurent pas », a lâché ce dernier, relayé par Next-Gen Auto.

« Tout a explosé ensuite parce qu’il est allé à la conférence de presse et a donné des réponses en un mot »

« Nous avons eu une bonne discussion ouverte avec Max pendant environ 20 minutes, une demi-heure, dans une situation difficile. On pouvait voir sur son visage qu’il était très énervé. Mais lorsqu’il est parti, il a semblé apaisé par rapport à la procédure et à sa raison d’être. Il ne nous a pas blâmés. C’est à Max et à la FIA de décider ce qu’il faut faire. Tout a explosé ensuite parce qu’il est allé à la conférence de presse et a donné des réponses en un mot, puis a tenu sa propre conférence de presse impromptue à l’extérieur, dans le paddock », conclut Johnny Herbert.

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