F1 : «Ce pauvre type», Hamilton balance sur Verstappen !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Dixième à l’issue du Grand Prix d’Australie, Lewis Hamilton a vécu un premier week-end difficile sous les couleurs de Ferrari, notamment dans sa communication avec son ingénieur de course, Riccardo Adami. Une situation qui a été exagérée selon le septuple champion du monde, qui a pris l'exemple de la relation entre Max Verstappen et Gianpiero Lambiase pour appuyer ses propos.

Alors qu’il s’apprête à vivre son deuxième Grand Prix avec Ferrari en Chine, Lewis Hamilton est revenu sur sa relation avec son ingénieur de course, Riccardo Adami. Les communications radio entre les deux hommes à Melbourne ont beaucoup fait réagir et le Britannique a tenu à clarifier la situation.

« Tout le monde a exagéré la situation ! »

« Tout le monde a exagéré la situation ! C’était littéralement un échange de propos classiques. J’ai été très poli dans ma suggestion. J’ai dit à l’équipe : ’Laissez-moi faire, s’il vous plaît’. Je ne disais pas ’Va te faire foutre’, je ne jurais pas. C’est juste qu’à ce moment-là, j’avais vraiment du mal avec la voiture et que j’avais besoin de me concentrer pleinement sur deux ou trois choses. On apprend à se connaître », a déclaré Lewis Hamilton, dans des propos relayés par Nextgen-Auto.

« Les conversations que Max a eues avec son ingénieur au fil des ans et les abus que ce pauvre type a subis »

Il a alors pris l’exemple de la relation entre Max Verstappen et son ingénieur de course, Gianpiero Lambiase : « Ricky (Riccardo Adami) a eu deux champions ou plus par le passé à gérer et il n’y a aucun problème entre nous. Allez écouter les radios avec les autres et leurs ingénieurs ; c’est bien pire. Les conversations que Max a eues avec son ingénieur au fil des ans et les abus que ce pauvre type a subis, et vous n’en parlez jamais, mais vous écrivez sur la moindre petite discussion que j’ai avec le mien. On commence tout juste à se connaître. Après, je dis : ’Hé mec, je n’ai pas besoin de ce genre d’informations. Mais si tu veux me donner ça, c’est ça que j’aime et à tel moment’. Voilà comment je me sens dans la voiture et à certains moments, voici ce qui se passe quand j’ai besoin ou non de ces informations. C’est de ça qu’il s’agit. Il n’y a aucun problème, on le fait avec le sourire, et on avance. »

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