Malgré son jeune âge et sa récente exposition dans les médias, Bradley Barcola a conservé un brin de lucidité. En privé, le joueur du PSG reconnait être dans le dur depuis quelques semaines. L'ailier en a parlé à ses proches et a essayé de trouver une explication à sa mauvaise passe.
Toutes les bonnes choses ont une fin. Lancé en pleine vitesse dans cette saison, Bradley Barcola n’est pas au meilleur de sa forme. Là où ça commence à devenir inquiétant, c’est que la situation dure. En club, le joueur n’a plus trouvé le chemin des filets depuis la rencontre face au LOSC le 1er septembre dernier. Le match face au Stade de Reims, ce samedi soir, a prolongé ce mutisme. « Tous mes joueurs ont lutté, ont donné leur maximum et après le foot c’est comme ça… Parfois cela passe, parfois non. Je comprends les critiques, mais je reste satisfait de tous mes joueurs » a confié Luis Enrique comme pour éteindre l’incendie.
Cette recrue a réalisé son rêve au PSG, elle vide son sac https://t.co/nam1vZxWhh pic.twitter.com/Ru0Ab50PIV
— le10sport (@le10sport) September 19, 2024
Barcola s'interroge sur sa mauvaise passe
Mais en privé, Barcola commence à douter et à se tourner vers ses proches. Selon les informations du Parisien, l’ailier du PSG tente de trouver des solutions et des explications. L’une d’entre elles concerne les adversaires, qui se sont acclimatés au jeu de Barcola. Défenseur du Stade de Reims, Cédric Kipré en est la parfaite illustration. Ce samedi, le joueur est parvenu à bloquer l’ailier.
Barcola a été étudié
« Il a cette phase de jeu où il marque un temps d’arrêt avant d’accélérer à nouveau. Ce dribble-là, je l’ai beaucoup vu dans son jeu,. Il a aussi une autre séquence où on le voit pousser le long de la ligne et accélérer, avant de centrer. C’est sur ces deux points-là qu’il est le plus fort : soit rentrer à l’intérieur, soit pousser le long de la ligne et quand il fait ça, ça peut être compliqué parce que sur les premiers mètres il est très rapide. Pour bien défendre, le latéral devait essayer d’être très près de lui quand il touchait le ballon afin de laisser le moins de temps et d’espace. Il y avait aussi quelques renforts de la part des ailiers et parfois du numéro 6 » a-t-il confié. A Barcola de trouver les réponses.