«En pré-retraite», il balance cash sur un joueur de l’ASSE
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

La défaite de l'ASSE face à l'OGC Nice ce vendredi soir (8-0) a provoqué la colère de Jean-Michel Larqué. Dans son viseur, la cellule de recrutement, la nouvelle direction du club stéphanois, mais aussi certains joueurs comme Yunis Abdelhamid. Arrivé cet été, le défenseur de 36 ans n'est plus au niveau selon l'ancienne gloire des Verts.

Pour l’ASSE, l’heure est aux questionnements après la lourde défaite enregistrée sur la pelouse de l’OGC Nice vendredi soir. Selon les informations de L’Equipe, les réunions ont été nombreuses ce samedi entre la direction, l’entraîneur et les joueurs. Les séances vidéo aussi, afin de comprendre comment l’ASSE a pu rendre une copie aussi imparfaite. Ancienne gloire des Verts, Jean-Michel Larqué a une explication.

La colère de Larqué en direct

Selon l’ancien international français, le problème réside dans le recrutement réalisé cet été par le triumvirat composé de Loïc Perrin, Samuel Rustem et Jean-François Soucasse. « Je n'ai rien contre Perrin, Rustem. Je n'ai rien contre Kilmer. Mais honnêtement, ce recrutement... Des équipes de L2 comme Bastia ou Pau n'auraient jamais pris 6 buts en une mi-temps à Nice. A l'ASSE, il n'y a rien. Rien. On ne peut pas accepter ça. Quand un président est absent 29 jours sur 30 ou 30 jours sur 31, ça ne peut pas marcher. J'ai entendu "il faut qu'ils vendent, il faut qu'ils vendent” » a confié Larqué sur RMC.

Il s'en prend à Abdelhamid

Le consultant a pris l’exemple de Yunis Abdelhamid, 36 ans et qui a fait son âge lors de la rencontre face à Nice. « Je ne connais qu'un seul joueur, Abdelhamid. Il est venu en pré-retraite. A Nice, il ne lui manquait qu'un képi et un bâton pour faire la circulation. C'était portes ouvertes. C'était : "les buts, c'est par ici" » a confié un Larqué visiblement en colère.

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