Ce dimanche, l’OL croyait bien signer une cinquième victoire de suite face à Toulouse. Rapidement devant au score, les Lyonnais se sont finalement inclinés à cause d’Emersonn, auteur d’un doublé en fin de match. Les coéquipiers de Corentin Tolisso n’ont pas réussi à tuer le match, ce que regrette Jorge Maciel, l’adjoint de Paulo Fonseca.
Malgré un été très mouvementé, l’OL est actuellement l’une des meilleures équipes du championnat de France. Les Lyonnais sont quatrièmes de Ligue 1, à égalité de points avec l’OM et Strasbourg, respectivement deuxième et troisième.
L’OL se fait piéger par Toulouse
L’OL est donc quatrième de Ligue 1, mais il aurait pu être encore plus haut au classement. En effet, ce dimanche Lyon s’est incliné à domicile face à Toulouse (1-2). Rapidement devant au score grâce à un but de Malick Fofana, les partenaires de Moussa Niakhaté n’ont pas réussi à enfoncer le clou et ils se sont fait doubler en fin de match à cause d’un double d’Emersonn.
«C’est cruel et c’est dur »
Après le match, Jorge Maciel, l’adjoint de Paulo Fonseca, est revenu sur la défaite des siens. Ce dernier regrette notamment que l’OL soit sorti de son match et c’est ainsi que Toulouse a repris confiance, jusqu’à finalement l’emporter. Ses propos sont rapportés par Foot Mercato. « C’est cruel et c’est dur, car avec ce but exceptionnel de Malick Fofana, on méritait les trois points, c’est ce que l’on pensait. Mais voilà, on n’a pas respecté certains principes, et on n’a pas assez créé en deuxième période. On a perdu de la maîtrise, on a mis moins de diversité dans notre jeu. On n’était pas au niveau de l’ambition que l’on doit avoir. Le problème, c’est qu’il ne faut pas sortir du match et donner de l’espoir à l’adversaire. Beaucoup de regrets ? En deuxième mi-temps, on n’a pas assez créé de situations. On avait des alertes. Ils ont du mérite, ils ont joué sur nos erreurs. À la fin, ils ont réussi à renverser le match. À nous de faire beaucoup mieux, on leur a donné beaucoup trop d’espoir. » Une vision que doit sûrement partager Paulo Fonseca, qui saura donc quels aspects travailler après la trêve internationale.