Transfert de dernière minute à l’OM : Il retourne sa veste en direct !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Dans les dernières heures du mercato, l'OM avait frappé très fort pour renforcer son secteur défensif. Dans cette optique, Benjamin Pavard, Nayef Aguerd ou encore Emerson Palmieri sont arrivés le dernier jour du marché des transferts. Et alors qu'Eric Di Meco n'était pas convaincu, il reconnait s'être trompé.

En toute fin de mercato, l'OM a accéléré pour compenser les erreurs de recrutement de l'été en renforçant son secteur défensif. C'est ainsi que lors de la dernière journée du marché des transferts, Benjamin Pavard, Nayef Aguerd ou encore Emerson Palmieri sont arrivés. De quoi rassuré Eric Di Meco qui avait des doutes plus tôt dans l'été.

Di Meco change d'avis sur le mercato de dernière minute

« Quand tu vois arriver autant de joueurs à la trêve, tu te dis est-ce que la mayonnaise va prendre rapidement ? Sauf que les 3 derniers qui arrivent, ceux qui étaient les plus attendus, des défenseurs de haut niveau, les Aguerd, Pavard et Emerson, ce sont déjà les tauliers de l’équipe. Ça veut dire que les défauts que tu avais la saison dernière, c’est gommé. Tu as des soucis en moins avec des garçons qui ont l’expérience de haut niveau et ça change l’équipe », assure l’ancien joueur de l’OM au micro de l’After Foot sur RMC.

«J’étais inquiet»

Relancé sur ses critiques concernant le mercato après la défaite contre l’OL, Éric Di Meco en rajoute une couche : « On se posait des questions. Quand je fais cette sortie après le match de Lyon, il n’y a pas encore ces recrues. Elles arrivent pendant la trêve. J’étais inquiet d’avoir vu beaucoup de joueurs arriver au milieu et ne pas voir arriver de défenseurs. J’avoue que l’épisode Rabiot et l’histoire qu’on a bien voulu nous raconter et ce que je crois être la réalité, je n’ai pas aimé ».

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