Depuis quelques jours, plusieurs pistes circulent pour renforcer l’effectif du PSG, à l’image de celui de Manuel Ugarte dont la clause libératoire est fixée à 60M€. Le club de la capitale serait en concurrence avec Chelsea. Mais à ce prix-là, le PSG ferait une erreur selon Denis Balbir qui estime que le montant du transfert est trop élevé.
Mercato - PSG : Une opération historique annoncée pour Messi, le verdict est tombé https://t.co/rGohsnnqQ4 pic.twitter.com/kaZtuTPM0I
— le10sport (@le10sport) June 1, 2023
«Je ne comprends pas comment que le PSG, qui étale ses dollars aux yeux de tous»
« Quand on voit les perspectives de Mercato et le fait que le coach risque de changer pour la 5ème ou 6ème fois en neuf ans : Ancelotti, Blanc, Emery, Tuchel, Pochettino et maintenant Galtier... Et pendant ce temps, regardez du côté de Manchester City où on mise sur Pep Guardiola sur la durée et où on atteint la finale de la Ligue des Champions ! Il n'y a pas de secret : quand il y a une stabilité et des certitudes dans les coulisses, ça marche », écrit dans un premier temps le journaliste dans sa chronique pour BUT Football Club, avant de critiquer l’investissement du PSG, notamment en ce qui concerne le potentiel transfert de Manuel Ugarte.
«Là, on va encore mettre 60M€ sur un milieu de terrain»
« Je ne comprends pas comment un club aussi riche que le PSG, qui étale ses dollars aux yeux de tous, peut oublier systématiquement les fondamentaux du football. Sans cette stabilité, vous ne pouvez pas gagner. Sinon sur le coup d'éclat d'un Mbappé, d'un Messi ou d'un Neymar mais ça ne suffit pas sur la durée, ça ne suffit pas en C1 ! Sincèrement, l'avenir du PSG est de plus en plus inquiétant. La direction du club ne tire aucune leçon de ses erreurs : que ce soit dans la construction d'une équipe ou la déconstruction d'un staff. On ne construit jamais un projet sur plus de trois ans, avec un coach qui est là sur la durée. Là, on va encore mettre 60M€ sur un milieu de terrain (Ugarte). Je comprends que les supporters parisiens soient usés, fatigués, désespérés et écœurés de tout ça... », ajoute Denis Balbir.