Cet hiver, le PSG s'est renforcé en recrutant le Géorgien Khvicha Kvaratskhelia, qui faisait des merveilles à Naples ces dernières saisons. Le joueur de 24 ans a réussi à bien s'intégrer au groupe parisien et ses qualités sont bien appréciées. En tout cas, Pierre Ménès salue l'arrivée du Géorgien même s'il reste encore une marge de progression.
L'été dernier, le PSG avait tout fait pour tenter de recruter Khvicha Kvaratskhelia. Le club s'était heurté à un mur puisque Naples ne voulait pas le faire partir. En janvier, l'ailier gauche a fini par rejoindre la capitale pour le plus grand bonheur des supporters. Pierre Ménès est impressionné par son travail défensif même s'il pense qu'il reste encore des choses à faire au niveau offensif.
Kvaratskhelia en concurrence avec Barcola
Très à l'aise sur le côté gauche, Khvicha Kvaratskhelia a débarqué dans une équipe où Bradley Barcola était aussi en très grande forme à ce poste. Le Géorgien n'a pas encore n'a pas encore une page de statistiques exceptionnelle comme le Français. « Barcola et Kvaratskhelia, ce sont deux profils de jeu très différents et qui pourraient être complémentaires si malheureusement, les deux n'étaient pas beaucoup plus à l'aise à gauche. Même si Kvaratskhelia peut faire des choses intéressantes à droite, plus que Barcola d'ailleurs » analyse Pierre Ménès sur sa chaîne YouTube.
« Ce qu'il fait sur le plan physique, c'est assez extraordinaire »
S'il est à l'aise en attaque habituellement, Khvicha Kvaratskhelia sait se montrer particulièrement efficace quand il faut faire des efforts défensifs. « Ce qui m'épate le plus avec Kvaratskhelia, c'est son travail défensif. Et je pense qu'il y est pour beaucoup dans la très belle performance de Nuno Mendes contre Bukayo Saka à Arsenal parce que son aide a été très précieuse. Ce qu'il fait sur le plan physique, c'est assez extraordinaire. Maintenant, il faudrait qu'il soit un peu plus décisif offensivement, mais compte tenu que c'est un joueur arrivé en janvier, c'est quand même vraiment très satisfaisant » dit Pierre Ménès.