Depuis de longues semaines, le PSG et la Juventus négocient autour du prêt avec obligation d’achat de Randal Kolo Muani. Si la fin du mercato estival approche, les deux parties n’ont toujours pas trouvé d’accord, alors que l’attaquant français lui, ronge son frein. Ce jeudi, le directeur général du club turinois, Damien Comolli, s’est exprimé avec prudence sur le cas de l’international Français.
L’horloge tourne pour le PSG dans le dossier Randal Kolo Muani. Décidé à vendre définitivement l’attaquant français cet été, le club de la capitale est actuellement en négociations avancées avec la Juventus pour ce transfert. Le club parisien semble d’ailleurs avoir bien géré ce dossier, étant donné que les Bianconeri ont accepté les conditions parisiennes, à savoir un prêt avec obligation d’achat.
« Je ne me sens pas très à l'aise pour parler des joueurs d'autres clubs »
Selon les dernières révélations de la presse italienne, il devrait s’agir d’un prêt payant de 10M€ assorti d’une obligation d’achat de 50M€ pour Kolo Muani. Ce jeudi, le directeur général de la « Vieille Dame » Damien Comolli s’est exprimé sur le cas de l’attaquant du PSG. « Tout d'abord, je ne me sens pas très à l'aise pour parler des joueurs d'autres clubs, car je pense que c'est une question de respect. Ensuite, il y a encore beaucoup de rumeurs et beaucoup de choses peuvent se passer entre aujourd'hui et lundi soir. Je ne peux pas être plus précis à ce sujet. Comme l'a dit Giorgio (Chiellini, ndlr) il y a quelques jours, nous ferons tout notre possible pour améliorer l'équipe et l'effectif », a ainsi confié l’ancien président du TFC.
« Nous devons être très prudents »
« Nous travaillons sans relâche et nous continuerons jusqu'à lundi soir, puis nous verrons ce que nous aurons obtenu. L'autre chose que je voudrais dire, c'est que nous avons la chance d'avoir derrière nous des propriétaires qui nous apportent un grand soutien. Nous avons des contraintes liées au fair-play financier pour les trois prochaines années, jusqu'en 2027, ce qui nous pose quelques difficultés car nous devons être très attentifs à ce que nous faisons. Parfois, une différence de quelques millions entre les clubs peut sembler insignifiante, mais ce n'est pas le cas, c'est beaucoup d'argent. Nous devons être très prudents car nous voulons respecter les règles », conclut un Damien Comolli prudent donc.